RĂ©ponse(1 sur 17) : Faire n'importe quoi trop peut rendre morose. Ne rien faire trop peut rendre morose aussi. Zut. Catch 22 ? Non, il faut simplement ĂȘtre raisonnable. Pas trop raisonnable, parce que c'est pas raisonnable d'ĂȘtre trop raisonnable. TLFi AcadĂ©mie9e Ă©dition AcadĂ©mie8e Ă©dition AcadĂ©mie4e Ă©dition BDLPFrancophonie BHVFattestations DMF1330 - 1500 RÉFLÉCHIR, verbeI. − − [ une surface rĂ©flĂ©chissante, lumiĂšre, un objet ou l'image d'un objet] Renvoyer par rĂ©flexion dans la direction d'origine ou dans une autre direction. Les nuages et les vapeurs de l'atmosphĂšre peuvent fort bien rĂ©flĂ©chir les formes et les couleurs des objets terrestres, puisqu'ils rĂ©flĂ©chissent, dans les parĂ©lies, l'image du soleil Bern. de St-P., Harm. nat.,1814, p. 81.Un petit lac rĂ©flĂ©chit l'image des centaines de stalactites qui pendent de la voĂ»te, et l'on croit voir au fond de ce lac les ruines d'une grande ville aperçue d'une hauteur considĂ©rable, car la surface du lac remet Ă  l'endroit ce qui Ă©tait Ă  l'envers Green, Journal,1944, p. 117.Empl. pronom. rĂ©flĂ©chit dans, sur un objet] Un vieux pont dont l'arche unique se rĂ©flĂ©chit harmonieusement dans l'eau tranquille Daniel-Rops, Mort,1934, p. 250.♩ PoĂ©t. ou littĂ©r. Je retrouvai sans cesse l'image de la jeune fille. Ses mains blanches sur les seaux, son beau regard rĂ©flĂ©chissant l'Ă©clat des flammes Toepffer, Nouv. genev.,1839, p. 290.C'Ă©tait une fille ... aux grands yeux d'un bleu sombre, qui semblaient rĂ©flĂ©chir l'azur d'un ciel d'Orient Ponson du Terr., Rocambole,t. 2, 1859, p. 65.Rem. On relĂšve la constr. un objet et image], oĂč rĂ©flĂ©chir a le sens de mirer » J'ai vu des monts voilĂ©s de citrons et d'olives RĂ©flĂ©chir dans les eaux leurs ombres fugitives Lamart., Harm., 1830, p. 392.− P. anal. [ un son] Ici et lĂ  sous l'ombre des sycomores la vibration du bronze au fond d'une pagode rĂ©flĂ©chit l'Ă©cho du monstre qui s'est tu Claudel, Connaiss. Est,1907, p. 70.Au part. passĂ© ou au passif. Les sons amortis semblaient ĂȘtre rĂ©flĂ©chis par un Ă©cho lointain Daniel-Rops, Mort,1934, p. 344.B. − Au fig. ou p. mĂ©taph. ReflĂ©ter, manifester. Dans ce dĂ©veloppement [de l'intelligence] survient le langage qui rĂ©flĂ©chit l'entendement, et le met, pour ainsi dire, en dehors de lui-mĂȘme Cousin, Hist. philos. XVIIIes.,1829, p. 3821. Comment un tel homme [Baudelaire], fait comme pas un autre pour rĂ©flĂ©chir le doute, la haine, le mĂ©pris, le dĂ©goĂ»t, la tristesse, pouvait-il manifester si hautement ses passions et vider le monde de son contenu pour en accuser les beautĂ©s dĂ©faites, les vĂ©ritĂ©s souillĂ©es, mais si soumises, si commodes? Éluard, Donner,1939, p. 107.− Empl. pronom. La crainte de lui avoir dit indirectement une chose dĂ©sagrĂ©able succĂ©da Ă  sa rĂ©pugnance pour le mauvais propos. Ce malheur se rĂ©flĂ©chit vivement dans ses traits si purs et si naĂŻfs Stendhal, Rouge et Noir,1830, p. 94.Je commence Ă  croire que l'ami vraiment, c'est la page blanche oĂč se rĂ©flĂ©chit votre Ăąme Gide, Corresp.[avec ValĂ©ry], 1891, p. 101.Rem. On relĂšve a Dans le sens fig. ou mĂ©taph., la constr. sur un objet, image] Le moi n'a pas encore rĂ©flĂ©chi son image sur le miroir de Narcisse J. Vuillemin, Essai signif. mort, 1949, p. 98. b Un empl. abusif avec un compl. dĂ©signant la chaleur. Synon. rĂ©verbĂ©rer. Il s'endormit sur la paille tiĂšde, dans la chaleur de cette canicule que la Loire rĂ©flĂ©chissait sur Nantes Morand, P. de Saligny, 1947, p. 192. c Un empl. pronom. rĂ©fl. au sens de se replier sur soi-mĂȘme, revenir sur soi-mĂȘme ». Le pĂ©ritoine se rĂ©flĂ©chit sur les parois du petit bassin Lar. Lang. fr..II. A. − Qqn usage de sa rĂ©flexion, exercer sa rĂ©flexion. Agir sans rĂ©flĂ©chir; rĂ©flĂ©chir avant de parler; prendre le temps de rĂ©flĂ©chir; rĂ©flĂ©chir longuement, mĂ»rement, un moment, un peu. RĂ©flĂ©chissez donc un peu. Moi, j'ai beaucoup rĂ©flĂ©chi; je pense toujours Ă  nous Balzac, Langeais,1834, p. 2762. Ces rĂ©flexions, je suis en train de me les faire, aprĂšs coup, pour lĂ©gitimer ma dĂ©cision. En rĂ©alitĂ©, je ne les ai point faites ou du moins je ne les ai point formulĂ©es. S'il fallait rĂ©flĂ©chir ainsi, peser toutes les consĂ©quences de ses actes, avant de sentir leur nĂ©cessitĂ©, je ne serais plus moi-mĂȘme, je ne pourrais plus vivre. H. Bazin, VipĂšre,1948, p. 202.− Locutions♩ Chose qui fait rĂ©flĂ©chir, qui donne Ă  rĂ©flĂ©chir. Chose qui incite Ă  la rĂ©flexion; qui fait modifier un jugement, une dĂ©cision; qui incite Ă  la prudence. Lagache avait conservĂ©, comme preuve de sa victoire, une des dents du crocodile .... Cela fit rĂ©flĂ©chir Robert, qui ... Ă©tait souvent la victime de ses amis Champfl., Souffr. profess. Delteil,1853, p. 125.La premiĂšre chose maintenant c'Ă©tait d'avoir des gĂ©nĂ©raux patriotes, et rien que cette idĂ©e vous donnait Ă  rĂ©flĂ©chir car nous pouvions en avoir d'autres, puisque le roi les choisissait Hist. paysan,t. 1, 1870, p. 456.♩ Je demande Ă  rĂ©flĂ©chir, je rĂ©flĂ©chirai, laissez-moi rĂ©flĂ©chir. [Indique que le locuteur ne veut pas prendre de dĂ©cision immĂ©diate] Costals reconnut dans cette suggestion le gĂ©nie mĂȘme de la haute bourgeoisie. Il demanda Ă  rĂ©flĂ©chir encore un peu Montherl., DĂ©mon bien,1937, p. 1270.B. − Qqn rĂ©flĂ©chit Ă , sur sa pensĂ©e, son attention sur un objet afin d'en avoir une connaissance approfondie, ou afin d'agir avec circonspection. RĂ©flĂ©chir Ă  bien des choses, Ă  ses paroles, Ă  sa situation; rĂ©flĂ©chir Ă  ce qu'on va dire; rĂ©flĂ©chir sur son avenir, sur le sens de la vie. Je vois bien que vous aimez Lucien, reprit-il d'un air tendrement rĂ©signĂ©, car il faut bien aimer un homme pour ne rĂ©flĂ©chir Ă  rien, pour oublier toutes les convenances Balzac, Illus. perdues,1839, p. 163.En ce temps-lĂ , les critiques musicaux français s'Ă©taient dĂ©cidĂ©s Ă  apprendre la musique. Il y en avait mĂȘme quelques-uns qui la savaient c'Ă©taient des originaux; ils s'Ă©taient donnĂ© la peine de rĂ©flĂ©chir sur leur art et de penser par eux-mĂȘmes Rolland, 1908, p. 684.C. − Qqn rĂ©flĂ©chit Examiner longuement. Attends!... T'as pas tout rĂ©flĂ©chi?... Reste lĂ ! T'as encore cinq minutes! CĂ©line, Mort Ă  crĂ©dit,1936, p. 694.Rem. On ne relĂšve que qq. ex. att. de cet empl. trans. dir. notĂ© comme incorrect par la plupart des grammaires et des dict.− Loc. Tout bien rĂ©flĂ©chi; c'est tout rĂ©flĂ©chi. AprĂšs avoir tout bien examinĂ©. C'est tout rĂ©flĂ©chi, je ne me marie pas, ça n'est pas mon idĂ©e Loti, PĂȘch. Isl.,1886, p. 1033. − Vous allez, une fois encore, m'offrir votre dĂ©mission. Et vous croyez que cela suffit? Non, Monsieur Salavin. Non! Tout bien rĂ©flĂ©chi, je vous garde. Vous m'entendez? Vous me comprenez? Je vous garde. Autrement dit, je ne vous lĂąche pas. Vous ĂȘtes un homme dangereux. Duhamel, Journal Salav., 1927, p. Qqn rĂ©flĂ©chit quea S'apercevoir au cours de ses rĂ©flexions du fait que. Je t'avais Ă©crit toutes mes peines sans rĂ©flĂ©chir que je t'Ă©crivais des choses qui ne peuvent qu'ĂȘtre dites, et dites Ă  toi seule Hugo, Lettres fiancĂ©e,1821, p. 48.Son chocolat lui avait donnĂ© soif. Il rĂ©flĂ©chit qu'il n'avait pas dĂ©jeunĂ© et qu'il avait une alimentation absurde. Puis, brusquement, une idĂ©e saugrenue lui passa par la tĂȘte Ai-je seulement Ă©teint ma lampe Ă  alcool? » Martin du G., Thib.,ÉtĂ© 14, 1936, p. 26.b Juger, estimer aprĂšs rĂ©flexion que. Il rĂ©flĂ©chit que dans un corps Ă  corps il aurait sĂ»rement le dessous Gide, Caves,1914, p. 857.Il avait rĂ©flĂ©chi que les engagements qu'il avait pris lui interdisaient de publier ses Confessions, mais non pas de les lire GuĂ©henno, Jean-Jacques,1952, p. 283.V. allumoir ex. de On relĂšve la constr. rĂ©flĂ©chir si. Il s'arrĂȘta, rĂ©flĂ©chit si toutes les prĂ©cautions Ă©taient prises PĂ©ladan, Vice supr., 1884, p. 272.Prononc. et Orth. [ʀefleʃiʀ], il rĂ©flĂ©chit [-ʃi]. Ac. 1694, 1718 refleschir; dep. 1740 rĂ©flĂ©chir. Étymol. et Hist. 1. 1269-78 reflechir renvoyer par rĂ©flexion » Jean de Meun, Rose, Ă©d. F. Lecoy, 18220; 2. 1314 se reflecir se courber, se replier en revenant sur soi » Chirurgie Henri de Mondeville, Ă©d. A. Bos, n o337, p. 96; 3. 1609 se reflechir revenir sur sa pensĂ©e pour l'approfondir » Prop. d'Epict., p. 647 ds Gdf. Compl.; 1672 rĂ©flĂ©chir penser mĂ»rement » Bossuet, TraitĂ© de la connoissance de Dieu et de soi-mĂȘme ds Livet MoliĂšre t. 3, p. 480; 1701 part. passĂ© adj. Fur., Refleschi les Grammairiens appellent verbes reflechis, ceux qui signifient une action qui retourne sur l'agent qui la produit; 1845-46 subst. Besch.. Adapt. d'apr. flĂ©chir* du lat. reflectere courber en arriĂšre, recourber; ramener », en lat. mĂ©diĂ©v. rĂ©verbĂ©rer d'un miroir » ca 1240 ds Latham, dĂ©r. de flectere flĂ©chir, ployer », prĂ©f. re- marquant le mouvement en arriĂšre. FrĂ©q. abs. littĂ©r. 4 158. FrĂ©q. rel. littĂ©r. xixes. a 5 177, b 4 977; xxes. a 5 527, b 7 subst. de rĂ©flĂ©chir. a [Corresp. Ă  supra I A] RĂ©flĂ©chissement de la lumiĂšre. TrĂŽnant au comptoir de bar parmi les bouteilles dont le rĂ©flĂ©chissement de la glace doublait le nombre, l'hĂŽtelier, avec la dignitĂ© d'un roi jaloux de ses faveurs, refusa net, sans cesser de rincer ses petits verres GuĂšvremont, Survenant,1945, p. 229.b [Corresp. Ă  supra I B] De lĂ , j'imagine, le rĂŽle des tarots, du marc de cafĂ© ou de la baguette du sourcier ... qui permettent ce phĂ©nomĂšne de rĂ©flĂ©chissement, de perception indirecte Huyghe, Dialog. avec visible,1955, p. 380.− [ʀefleʃismɑ ̃]. Ac. 1694, 1718 refleschissement; 1740-1878 rĂ©flĂ©chissement. − 1reattest. ca 1380 Jean LefĂšvre, Vieille, Ă©d. Cocheris, p. 245; dĂ©r. de la forme du part. prĂ©s. de rĂ©flĂ©chir, suff. -ment1*. -euse, rĂ©flĂ©chit supra I A. Le phĂ©nomĂšne acoustique ... ricochet des ondes sonores sur des surfaces rĂ©flĂ©chissantes ... n'est plus d'ordre statique, mais plutĂŽt d'ordre biologique − bouche ou oreille, Ă©metteur, transmetteur, rĂ©flĂ©chisseur Gds cour. pensĂ©e math.,1948, p. 487.Empl. subst. Personne qui rĂ©flĂ©chit supra II. Comme tous les rĂ©flĂ©chisseurs Ă©minents, vous avez deux grands cĂŽtĂ©s par un de ces cĂŽtĂ©s, vous ĂȘtes philosophe; par l'autre, vous ĂȘtes poĂ«te Hugo, Corresp.,1840, p. 569.− [ʀefleʃisĆ“Ê€], fĂ©m. [-Ăžz]. − 1resattest. av. 1686 adj. Chapelle, Epitaphe d'un chien ds LittrĂ©, puis 1870 LittrĂ©, 1731 subst. Du Plessis, Hist. de l'Église de Meaux, t. 1, p. 525; dĂ©r. de la forme du part. prĂ©s. de rĂ©flĂ©chir, suff. -eur2*.BBG. − Gohin 1903, p. 304, 339, 359. − Ieremia E.. Essai d'analyse sĂ©mique. B. de la SociĂ©tĂ© roum. de ling. rom. 1974, t. 10, pp. 23-35. 0 ‱ Un verbe pronominal est dit rĂ©flĂ©chi lorsque le sujet agit sur lui-mĂȘme. Je me coupe (il coupe lui-mĂȘme). Il se rase (il rase lui-mĂȘme). Elles se lavent. ‱ Un verbe pronominal non rĂ©flĂ©chi est un verbe pronominal dont l’action ne se reporte pas sur le sujet. Elles se sont aperçues de leur erreur (elles n’aperçoivent pas Nous allons dĂ©couvrir 15 conseils pour accĂ©lĂ©rer son temps de rĂ©flexion est un exercise perpĂ©tuel qui peut nous aider Ă  rĂ©soudre des problĂšmes difficile ou survivre dans un environnement compliquĂ©. Une personne qui rĂ©flĂ©chi vite paraĂźt plus intĂ©lligent que ses paires, mais en rĂ©alitĂ© il a une mĂ©thode personnelle qui le permet de vite trouver une solution ou en donner l’ ce billet on prĂ©sentera des conseils prise ça et lĂ  pour rester focus sur l’essentiel dans les projets. Pour les appliquer il faut commencer par le plus facile et le reste article est une mise Ă  jour de la publication qui date de 201615 conseils pour rĂ©flĂ©chir plus vite en 2022 Cliquez pour tweeter15 conseils pour rĂ©flĂ©chir plus vite1- Le premier principe de l’improvisation est de rĂ©pondre Oui, et »2- Soyez relaxe quand vous parlez, dĂ©tendez votre mĂąchoire. Ayez de l’assurance en vous et de la confiance en ce que vous Si vous ĂȘtes d’humeur silencieux, restez le. Ne vous sentez pas obligĂ© de parler quand vous n’avez pas Quand vous avez une idĂ©e en tĂȘte, rĂ©pĂ©tĂ© la plusieurs fois pendant que vous y RepĂ©rez vos rĂ©flexes et produisez un esprit de Ecoutez votre instinct, il rĂ©flĂ©chit plus vite que votre Travaillez la premiĂšre pensĂ©e qui vous vient Ă  l’esprit, elle est lĂ  pour une raison8- Visez vos objectifs. Songez Ă  ce que vous cherchez Ă  rĂ©aliser avant de faire autres choses. Cela peut vous donner un bon point de dĂ©part et une sorte de lumiĂšre au bout du Sachez ce qui est exigĂ©. Sinon, songez simplement aux contraintes liĂ©es Ă  ce travail . Tandis qu’une absence de contraintes peut parfois donner de meilleurs rĂ©sultats, vous l’organiserez mieux en maĂźtrisant bien ses limites. Devez-vous, par exemple, vous tenir Ă  un certain budget? Devez-vous utiliser un matĂ©riel particulier? Le projet doit-il ĂȘtre finalisĂ© en un certain temps?10- Faites taire les critiques non constructives. La critique n’aide en rien quand vous devez bien rĂ©flĂ©chir. Vous devez avoir le moins de contraintes possible pour avoir de nouvelles idĂ©es. Gardez la critique pour la fois oĂč vous aurez un large Ă©ventail de possibilitĂ©s. Si vous rĂ©flĂ©chissez avec d’autres personnes, vous pourrez rappeler Ă  certains qu’ils doivent garder pour eux leurs opinions nĂ©gatives jusqu’à ce que l’on trouve une Faites un schĂ©ma de pensĂ©e carte heuristique . Le schĂ©ma de pensĂ©e est la technique de rĂ©flexion la plus connue de toutes. LĂ , vous notez une ou plusieurs idĂ©es dans un carnet de notes. Accrochez lĂ  au mur puis construisez un schĂ©ma Ă  partir de cette idĂ©e. Notez chaque petite chose Ă  laquelle vous pensez et reliez les idĂ©es entre elles. Les schĂ©mas de pensĂ©es peuvent vous empĂȘcher aussi d’aller au bout de votre idĂ©e. Ne perdez donc pas trop de temps en activitĂ©s de rĂ©flexion, essayez simplement d’aller Ă  l’essentiel le plus vite CrĂ©ez des catĂ©gories d’idĂ©es. Par exemple trois catĂ©gories les idĂ©es simples, les idĂ©es complexes et les idĂ©es folles. TĂąchez de trouver au moins cinq idĂ©es par ÉnumĂ©rez et Ă©valuez vos hypothĂšses. Vous allez naturellement faire quelques suppositions sur votre projet. Que recherche-t-on ? Quelles sont les limites ? Qu’est-ce qui est tolĂ©rĂ© ou normal ? À quoi cela devrait-il ressembler ? Notez les afin que vous puissiez y revenir plus tard. Dans le cadre d’un projet artistique, par exemple, nous pourrions supposer que l’on recherche un thĂšme de couleurs qui s’accordent avec celui d’une salle d’exposition. Pour un projet d’affaires, nous pourrions supposer que les clients veulent un produit en particulier que nos concurrents ne peuvent Évaluez ce avec quoi vous devez travailler. Concentrez vous sĂ©rieusement sur ce que vous avez fait dans le passĂ©, fait rĂ©cemment , ainsi que les ressources qui sont Ă  votre disposition. Cela vous donnera une structure prĂ©cise avec laquelle vous pouvez quoi avez-vous besoin? De quels matĂ©riaux ne vous ĂȘtes-vous pas servi depuis longtemps ? De quels personnes vous n’avez pas utilisez de service ? Qu’avez-vous essayĂ© l’an dernier et en quoi pourriez-vous l’amĂ©liorer ? Demandez l’avis des Faites des exercices d’écriture spontanĂ©e. Ce type d’exercice consiste Ă  Ă©crire sans s’ arrĂȘter. Cela implique aussi des associations libres ou vous suivez naturellement le cours de vos pensĂ©es au lieu de chercher Ă  diriger le courant. Contentez-vous d’écrire une phrase en relation avec le sujet sur lequel vous voulez traiter puis suivez ce que votre esprit vous inspire. En Ă©crivant chaque mot qui vous passe par la tĂȘte sans cesser de penser , on peut gĂ©nĂ©rer un rĂ©sultat peut ĂȘtre surprenant!En faite c’est 15 conseils Ladevinette Qu’est ce qui rĂ©flĂ©chit sans rĂ©flĂ©chir ? Ă©tant rĂ©solue, je vous invite Ă  trouver dans le prochain sujet la suite du jeu : EmoticĂŽnes – Esprit Boom niveau 709. N’hĂ©sitez donc pas Ă  y jeter un coup d’Ɠil si jamais vous aurez des soucis pour trouver les mots qui vous manqueraient.
Qu’est-ce que rĂ©flĂ©chir ? D’aprĂšs les cognitivistes, nous ne rĂ©flĂ©chissons pas trĂšs souvent parce que notre cerveau n’est pas conçu pour rĂ©flĂ©chir mais plutĂŽt pour Ă©viter de le faire. RĂ©flĂ©chir est Ă  la fois difficile et une action lente et peu fiable. Le cerveau est fait pour voir et bouger mais sa capacitĂ© de rĂ©flexion est lente, contraignante, approximative. Daniel T. Willingham, professeur de psychologie cognitive, considĂšre que notre capacitĂ© Ă  voir et Ă  nous dĂ©placer est une prouesse cognitive remarquable ces activitĂ©s demandent plus de travail au cerveau que la seule rĂ©flexion. 3 propriĂ©tĂ©s de la rĂ©flexion demande du temps Notre vision sait assimiler une scĂšne complexe instantanĂ©ment. En un coup d’oeil, nous assimilons l’intĂ©gralitĂ© des dĂ©tails d’une scĂšne pour en avoir une photo globale nous voyons un jardin plutĂŽt qu’un portail, un pelouse, des fleurs et des arbres de maniĂšre isolĂ©e. implique un rĂ©el effort Pour voir de maniĂšre globale et courante, nous n’avons pas besoin de nous concentrer; nous pouvons faire autre chose en mĂȘme temps. Pour rĂ©flĂ©chir, nous avons besoin de nous concentrer; notre cerveau qui rĂ©flĂ©chit ne peut pas faire autre chose en mĂȘme temps. C’est pourquoi la nouveautĂ© d’une action, bien qu’elle puisse ĂȘtre amusante, est Ă©galement Ă©puisante. rĂ©flexion est approximative RĂ©flĂ©chir ne nous offre de pas de garantie les solutions que nous trouvons peuvent ĂȘtre fausses et parfois nous ne trouvons pas de solution. MĂ©moire et rĂ©flexion Daniel T. Willingham affirme que, dĂšs que c’est possible, nous nous reposons sur notre mĂ©moire car elle nous Ă©vite d’avoir Ă  rĂ©flĂ©chir et ainsi nous Ă©conomise. Pour prendre chacune de nos dĂ©cisions et pour agir au quotidien, nous n’avons pas besoin de rĂ©flĂ©chir systĂ©matiquement souvent, nous agissons comme d’habitude. Notre mĂ©moire, comme notre vision, nous permet d’analyser immĂ©diatement et sans effort des problĂšmes complexes. – Daniel T. Willingham La mĂ©moire enregistre des faits, des Ă©vĂ©nements, des visages et des noms mais Ă©galement des techniques, des procĂ©dures. La neuroplasticitĂ© Pour s’économiser et Ă©viter de rĂ©flĂ©chir, la nature nous a dotĂ©s de neuroplasticitĂ©. Le cerveau est capable de changer. A force de rĂ©pĂ©ter des actions complexes qui demandent de la rĂ©flexion, ces actions sont automatisĂ©es. Elles deviennent inconsciente et nous n’avons plus besoin de rĂ©flĂ©chir pour les effectuer. GrĂące Ă  la neuroplasticitĂ©, notre cerveau s’ajuste et s’habitue. Le cerveau est comme une forĂȘt si on marche plusieurs fois dans le mĂȘme sentier, un chemin va progressivement se crĂ©er. Dans le cerveau, il y a crĂ©ation de sentiers de communication entre les neurones. Ces sentiers connexions neuronales deviennent de plus en plus efficaces et mĂšnent Ă  l’automatisation des processus liĂ©s Ă  une certaine tĂąche et donc Ă  la rĂ©solution plus faciles de certains problĂšmes. Apprendre, c’est crĂ©er des connexions entre des neurones. Les choses deviennent plus faciles et on est capable de les faire de mieux en mieux car le chemin est “dĂ©frichĂ©â€, les informations passent plus rapidement d’un neurone Ă  l’autre par ces voies de communication. Plus on utilise le cerveau pour crĂ©er des connexions neuronales, plus on apprend. Ainsi, quand on apprend Ă  faire du vĂ©lo, les gestes sont d’abord conscients et nĂ©cessitent une forte concentration pĂ©daler, maintenir son Ă©quilibre, prendre assez de vitesse, regarder droit devant, freiner
 Penser Ă  toutes ces choses en mĂȘme temps demande de gros efforts. Avec la pratique, des connexions se crĂ©ent entre les neurones sollicitĂ©s pour effectuer cette tĂąche. Les neurones ont créé des chemins pour communiquer entre eux et l’information circule de maniĂšre plus fluide. Mais si on ne marche pas pendant un bon bout de temps dans les sentiers créés par la forĂȘt, la vĂ©gĂ©tation reprend sa place. Les rĂ©seaux de neurones non utilisĂ©s finissent par se dĂ©connecter progressivement. RĂ©flĂ©chir Ă  l’école Ainsi, le cerveau a dĂ©veloppĂ© des stratĂ©gies pour s’économiser et Ă©viter d’avoir Ă  rĂ©flĂ©chir les principales fonctions, la vision et le mouvement, ne demandent pas de rĂ©flexion dans la majoritĂ© des cas, la mĂ©moire remplace la rĂ©flexion pour nous guider dans nos actions la neuroplasticitĂ© permet d’automatiser des actions grĂące Ă  la pratique Si nous ne sommes pas douĂ©s pour rĂ©flĂ©chir et si la mĂ©moire et la pratique nous Ă©vitent d’avoir Ă  le faire, il est facile de comprendre pourquoi les enfants n’aiment pas l’école, un lieu entiĂšrement dĂ©diĂ© Ă  l’apprentissage de la rĂ©flexion. Heureusement, ma dĂ©monstration ne s’arrĂȘte pas Ă  ce constat. Car nous aimons rĂ©flĂ©chir. Nous sommes curieux par nature et nous cherchons les occasions de faire travailler nos neurones. Mais nous abandonnons assez facilement et, pour que notre curiositĂ© soit attisĂ©e, il faut que nous soyons dans les meilleures conditions possibles. – Daniel T. Willingham RĂ©flexion et curiositĂ© Les ĂȘtres humains aiment rĂ©flĂ©chir, ils aiment rĂ©soudre des problĂšmes ! Quand nous trouvons la solution Ă  un problĂšme, notre cerveau s’auto rĂ©compense en sĂ©crĂ©tant une petite dose de dopamine, un neurotransmetteur proche de l’adrĂ©naline. Les neuroscientifiques et les les cognitivistes soupçonnent donc un lien entre apprentissage et plaisir ! Ce plaisir est liĂ© Ă  l’effort que nous fournissons pour rĂ©soudre le problĂšme. Quand nous sommes bloquĂ©s face Ă  un problĂšme, nous sommes frustrĂ©s mais nous ne ressentons pas de plaisir si la rĂ©ponse nous est donnĂ©e. Par ailleurs, tous les raisonnements ne sont pas aussi attrayants les uns que les autres. Le sujet d’un problĂšme au sens large de jeu de l’esprit peut donc attiser la curiositĂ© mais ne suffit pas Ă  la satisfaire. Nous n’aimons rĂ©flĂ©chir que quand nous estimons que notre effort intellectuel sera rĂ©compensĂ© par la satisfaction que suscite la rĂ©solution d’un problĂšme. Il n’est donc pas contradictoire de dire que les ĂȘtres humains Ă©vitent de rĂ©flĂ©chir quand ils le peuvent et, dans le mĂȘme temps, qu’ils sont curieux par nature la curiositĂ© nous pousse Ă  nous intĂ©resser Ă  de nouvelles idĂ©es, Ă  de nouveaux problĂšmes, mais nous Ă©valuons Ă  chaque fois la quantitĂ© d’efforts qu’il nous faudra fournir. – Daniel T. Willingham 4 facteurs d’une rĂ©flexion rĂ©ussie informations fournies par l’environnement L’environnement est constituĂ© de choses Ă  voir, Ă  entendre, de problĂšme Ă  rĂ©soudre
 faits et Ă©vĂ©nement entreposĂ©s dans la mĂ©moire Ă  long terme Toutes les informations contenues dans la mĂ©moire Ă  long terme sont extĂ©rieures Ă  la conscience. C’est comme si elles restaient lĂ  bien sagement en attendant le moment oĂč on en a besoin. A ce moment-lĂ , pour rĂ©pondre Ă  une question par exemple, les informations deviennent conscientes. Les informations pour rĂ©pondre Ă  une question ou un problĂšme peuvent donc soit venir de l’environnement, soit de la mĂ©moire Ă  long terme. La rĂ©flexion consiste Ă  trouver de nouvelles combinaisons entre ces informations et ce processus se situe au sein de la mĂ©moire de travail mĂ©moire Ă  court terme. On comprend alors l’importance de la culture gĂ©nĂ©rale dans le processus de rĂ©flexion et la raison pour laquelle Daniel T. Willingham insiste sur la culture gĂ©nĂ©rale dans un monde connectĂ© mĂȘme si la connaissance est disponible rapidement “à l’extĂ©rieur” du cerveau Peut-on se passer de culture gĂ©nĂ©rale et de mĂ©morisation de faits/connaissances dans un monde connectĂ© ? cheminements mentaux procĂ©dures, techniques mĂ©morisĂ©s dans la mĂ©moire Ă  long terme La mĂ©moire Ă  long terme contient Ă©galement des connaissances procĂ©durales. La connaissance procĂ©durale est comme une liste indiquant quels Ă©lĂ©ments il faut combiner et Ă  quel moment une sorte de recette pour un type de rĂ©flexion particulier. quantitĂ© d’espace disponible dans la mĂ©moire de travail Plus la mĂ©moire de travail mĂ©moire Ă  court terme est remplie, plus il est difficile de rĂ©flĂ©chir. Daniel T. Willingham compare la mĂ©moire de travail Ă  la conscience. La mĂ©moire Ă  court terme est la “petite” mĂ©moire qui permet de stocker des informations temporairement. Aucune information ne peut passer directement de l’environnement extĂ©rieur Ă  notre “boite noire” intĂ©rieure sans passer par la mĂ©moire Ă  court terme. La mĂ©moire Ă  court terme permet de garder une information quelques secondes, pas plus. On ne peut maintenir dans la mĂ©moire Ă  court terme que + ou – 7 Ă©lĂ©ments Ă  la fois. C’est pour cette raison qu’on regroupe les chiffres des numĂ©ros de tĂ©lĂ©phone pour les retenir par exemple. Un empan est la quantitĂ© d’information le nombre de chiffres par exemple qu’un individu peut mĂ©moriser dans un court laps de temps en moins de 20 secondes. Cette mesure est importante puisqu’elle influence le nombre d’unitĂ©s d’information qui peuvent ĂȘtre mĂ©morisĂ©es en mĂȘme temps. La mĂ©moire Ă  court terme est trĂšs sensible aux distractions, Ă  l’anxiĂ©tĂ©. Selon Daniel T. Willingham, si l’un des facteurs fait dĂ©faut, il y a de fortes chances pour que la rĂ©flexion Ă©choue
 ou qu’elle soit longue, difficile, laborieuse, approximative. D’un point de vue cognitif, un des facteurs fondamentaux pour les apprentissages est celui de savoir si un Ă©lĂšve ressent cette sensation agrĂ©able de satisfaction quand il rĂ©sout un problĂšme. 

























. Source Pourquoi les enfants n’aiment pas l’école ! de Daniel T. Willingham Ă©ditions La librairie des Ecoles. Disponible en mĂ©diathĂšque, en librairie ou sur internet. Commander Pourquoi les enfants n’aiment pas l’école ! sur Amazon, sur Decitre, sur Cultura ou sur la Fnac
ï»żVidĂ©oTikTok de Charlie Alf (@charliealf62) : « ''À tous ceux qui me regardent avec un rictus dont ils ont du mal Ă  dissimuler l'ironie.À tous ceux qui s'empressent de me dire, que ce n'est que de temps en temps qu'ils mangent de la viande.À tous ceux qui me disent des phrases pour tenter de me ramener sur terre, comme "il faut bien se nourrir", "avant tu adorais la viande".À tous Par Shu Qin, Chine En fĂ©vrier de l’annĂ©e derniĂšre, j’ai Ă©tĂ© transfĂ©rĂ© dans une Église en tant que dirigeant. Certaines tĂąches n’y Ă©taient pas faites de façon trĂšs efficace, et je me suis dit Les dirigeants qui ont arrangĂ© ma venue ici doivent beaucoup m’estimer, et penser que je suis capable de reprendre en main le travail de cette Église. Il faut que je m’en sorte bien, que je montre Ă  ces dirigeants que je peux faire un travail pratique et qu’ils ont eu raison de me choisir. » Ensuite, j’ai Ă©tĂ© voir chaque groupe de l’Église, pour savoir oĂč en Ă©tait leur travail, et rĂ©soudre les difficultĂ©s et problĂšmes des frĂšres et sƓurs dans leurs devoirs. Certains frĂšres et sƓurs Ă©tant dans un mauvais Ă©tat, je les ai aidĂ©s et soutenus avec amour. Quand je trouvais que des gens ne convenaient pas Ă  un poste, je discutais avec ma partenaire et je les transfĂ©rais ou je les remplaçais, conformĂ©ment aux principes. Au bout d’un moment, le travail de l’Église s’est quelque peu amĂ©liorĂ©. J’étais trĂšs content, mais je n’ai pas pu m’empĂȘcher de penser Je crois que je peux faire davantage de travail pratique. Il faut que je travaille dur pour obtenir de meilleurs rĂ©sultats, ainsi, mes frĂšres et sƓurs verront mes capacitĂ©s de travail et diront que je suis un bon dirigeant. » Un jour, alors que nous passions en revue certaines tĂąches, j’ai remarquĂ© que l’efficacitĂ© du travail d’abreuvement avait beaucoup diminuĂ©, et que plusieurs nouveaux venus n’allaient pas aux rĂ©unions. J’ai pensĂ© Les autres tĂąches sont faites plus efficacement, maintenant, mais l’efficacitĂ© du travail d’abreuvement a dĂ©clinĂ©. On ne peut pas laisser le travail d’abreuvement affecter les rĂ©sultats d’ensemble, sinon, tout le monde va dire que je suis incompĂ©tent, ce qui nuirait Ă  mon image. » Alors je suis vite allĂ© voir le personnel d’abreuvement, j’ai appris que la dirigeante du groupe, SƓur Wu, ignorait les difficultĂ©s des nouveaux venus quand elle arrangeait leurs rĂ©unions et devoirs. Elle arrangeait des rĂ©unions quand certains nouveaux venus devaient travailler, ce qui les empĂȘchait d’y assister, du coup, ils avaient des difficultĂ©s, pensaient ne pas ĂȘtre Ă  la hauteur, et devenaient nĂ©gatifs. Apprendre ça m’a mis un peu en colĂšre. J’ai pensĂ© J’ai clairement dit Ă  SƓur Wu que nous devions penser Ă  la situation des nouveaux venus quand nous arrangeons rĂ©unions et devoirs pour eux. Pourquoi ne peut-elle pas maĂźtriser ce concept et se montrer plus souple ? Je crois qu’elle n’a pas le calibre nĂ©cessaire pour cet abreuvement. Les mauvais rĂ©sultats que nous obtenons ont tous Ă  voir avec elle. Je ne peux pas la laisser, Ă  elle seule, affecter le travail de l’Église toute entiĂšre. Il faut la dĂ©mettre immĂ©diatement. Si je ne la dĂ©mets pas, nos rĂ©sultats ne vont jamais s’amĂ©liorer. Cela va entraver le travail de la maison de Dieu, et, en plus, mes supĂ©rieurs, et les frĂšres et sƓurs, vont penser que je suis incapable de travailler, ou de rĂ©soudre des problĂšmes rĂ©els. Je ne peux pas laisser les gens douter de ma compĂ©tence. » Donc, aprĂšs la rĂ©union, j’ai Ă©voquĂ© le renvoi de SƓur Wu avec ma partenaire et les diacres. La diaconesse d’abreuvement a dit Autrefois, SƓur Wu abreuvait efficacement les nouveaux venus. Elle est peut-ĂȘtre en mauvais Ă©tat, en ce moment, elle a peut-ĂȘtre formĂ© les nouveaux venus un peu trop rapidement, voilĂ  tout. Nous devrions Ă©tudier sa situation, puis Ă©changer avec elle et l’aider. Si elle ne change pas, au bout d’un certain temps, nous la dĂ©mettrons. » Mais Ă  ce moment-lĂ , j’ai uniquement pensĂ© que ma rĂ©putation et mon statut risquaient d’en pĂątir. Je me disais SƓur Wu ne vient pas de commencer Ă  abreuver les nouveaux venus. Et je lui ai dĂ©jĂ  parlĂ© de ce problĂšme. Je crois qu’elle refuse d’accepter les rappels et l’aide. Si nous ne la renvoyons pas Ă  temps, et que nous prenons du retard, ou si le travail s’en trouve affectĂ©, je vais forcĂ©ment ĂȘtre tenu pour responsable, donc, peu importe le moyen, cette fois, je dois arriver Ă  convaincre les diacres de dĂ©mettre SƓur Wu. » Alors j’ai dit sur un ton furibond SƓur Wu est inefficace dans son devoir, ce qui prouve qu’elle est incompĂ©tente et qu’elle ne convient pas Ă  ce poste. Si vous la gardez, et que les rĂ©sultats de notre travail ne s’amĂ©liorent pas, lequel d’entre vous en assumera la responsabilitĂ© ? Vous n’avez qu’à l’aider, mais sans moi ! » Voyant mon attitude, ma partenaire et les diacres n’ont rien osĂ© dire. Plus tard, j’ai appris que SƓur Wu Ă©tait devenue trĂšs nĂ©gative aprĂšs avoir Ă©tĂ© remplacĂ©e. Elle se disait qu’elle avait abreuvĂ© des nouveaux venus pendant des annĂ©es, avec de bons rĂ©sultats. Mais lĂ , elle formait des nouveaux venus qui dĂ©butaient dans leur foi, parce que l’Église manquait de personnel d’abreuvement, et elle devait combiner plusieurs lieux de rencontre. Du coup, il y avait des problĂšmes quand elle Ă©tait trop prise pour s’occuper des difficultĂ©s de tous les nouveaux venus. Elle n’avait pas cru pouvoir ĂȘtre dĂ©mise comme ça, donc elle se disait que nous l’avions renvoyĂ©e sans principes, en nous basant sur un comportement qu’elle avait eu temporairement, et non sur une Ă©valuation Ă©quilibrĂ©e de son comportement habituel. Quand j’ai appris ça, non seulement je n’ai pas cherchĂ© la vĂ©ritĂ©, ni rĂ©flĂ©chi sur moi-mĂȘme, mais je me suis dit que SƓur Wu Ă©tait de faible stature, qu’elle ne pouvait pas se connaĂźtre ni tirer de leçons de cette situation, et je n’ai pas pris ça au sĂ©rieux du tout. AprĂšs le renvoi de SƓur Wu, nous avons choisi SƓur Liu comme dirigeante de groupe. Ravi, je me suis dit Maintenant, le travail d’abreuvement devrait ĂȘtre plus efficace ! » Mais, au bout d’un moment, j’ai dĂ©couvert que SƓur Liu avait une faible capacitĂ© de travail, et qu’elle n’était pas aussi responsable que SƓur Wu. Elle ne comprenait pas Ă  temps l’état des nouveaux venus, et ne savait pas comment rĂ©soudre leurs problĂšmes. Par consĂ©quent, le temps a passĂ©, mais le travail d’abreuvement ne s’est pas amĂ©liorĂ©. J’ai commencĂ© Ă  me sentir mal Ă  l’aise et Ă  me demander si renvoyer SƓur Wu avait Ă©tĂ© une erreur, mais, vu la situation, j’ai dĂ©cidĂ© d’échanger avec SƓur Liu et de l’aider davantage, pour voir si ses rĂ©sultats allaient s’amĂ©liorer. Des nouveaux venus continuant d’arriver dans l’Église, la prioritĂ© a Ă©tĂ© de former rapidement davantage de personnel d’abreuvement. J’ai donc vite commencĂ© Ă  chercher des candidats. J’ai pensĂ© Ă  SƓur Chen, qui avait Ă©tĂ© dĂ©mise et Ă©tait encore isolĂ©e pour rĂ©flĂ©chir sur elle-mĂȘme. Elle avait prĂȘchĂ© l’Évangile auparavant, et avait obtenu des rĂ©sultats, donc j’ai voulu la former. Je pensais juste qu’elle Ă©tait amicale, qu’elle communiquait facilement avec les gens, et que si nous la formions, cela rĂ©soudrait le problĂšme du travail d’abreuvement. Mes supĂ©rieurs diraient forcĂ©ment que j’étais de bon calibre, que j’étais un bon dirigeant. Alors j’ai demandĂ© Ă  la diaconesse d’abreuvement de s’attacher Ă  cultiver SƓur Chen. EmbarrassĂ©e, cette diaconesse a rĂ©pondu Nous avions pensĂ© Ă  un arrangement de ce genre, mais nous avons vu que SƓur Chen n’avait toujours aucune connaissance d’elle-mĂȘme aprĂšs avoir Ă©tĂ© dĂ©mise. Quand elle prĂȘchait l’Évangile, elle luttait pour la gloire et le gain, et semait la jalousie et le conflit, ce qui empĂȘchait totalement les autres d’accomplir leur devoir normalement. Si nous la formons Ă  l’abreuvement maintenant, elle va continuer Ă  se montrer malfaisante et Ă  provoquer des perturbations. L’abreuvement est l’une des tĂąches les plus importantes dans la maison de Dieu. Ceux qui sont formĂ©s dans ce but doivent avoir une bonne humanitĂ© et ne pas perturber le travail de la maison de Dieu. Nous devons faire les choses conformĂ©ment au principe ! » Les paroles de la diaconesse m’ont rendu nerveux. J’ai pensĂ© SƓur Chen est amicale et elle a du calibre. La former Ă  abreuver les nouveaux venus va forcĂ©ment rendre le travail plus efficace rapidement. Si nous dĂ©cidons de ne pas la former parce qu’elle semble ne pas s’ĂȘtre vĂ©ritablement repentie, mes dirigeants ne pourront pas constater que j’ai une grande capacitĂ© de travail. Ça ne va pas du tout. Je dois convaincre la diaconesse de faire ce que je veux, je ne peux pas renoncer comme ça. » Alors j’ai traitĂ© cette diaconesse d’abreuvement, en disant Est-ce bien le moment de suivre les rĂšgles aveuglĂ©ment ? Les principes disent aussi que ceux qui ont transgressĂ© autrefois doivent avoir la possibilitĂ© de se repentir. SƓur Chen est amicale et a le calibre nĂ©cessaire pour abreuver les nouveaux venus, nous pouvons donc la former. Il faut juste la surveiller et ne pas la laisser provoquer des perturbations. SƓur Chen est de bon calibre et elle apprend vite. Disposer d’une sƓur compĂ©tente pour l’abreuvement rĂ©soudra bien des problĂšmes. Allez la chercher et amenez-la Ă  la rĂ©union ! » Quand la diaconesse d’abreuvement a vu que je m’entĂȘtais, elle n’a rien ajoutĂ©. Mais quelques jours plus tard, la diaconesse d’abreuvement a signalĂ© que SƓur Chen n’investiguait pas les notions et la confusion des nouveaux venus avant de les abreuver, et qu’elle n’offrait pas d’échange ciblĂ©. À la place, elle insistait pour Ă©changer en se basant sur ses propres idĂ©es, ce qui avait amenĂ© deux nouveaux venus Ă  s’opposer, Ă  rĂ©sister et Ă  cesser de croire. À l’époque, ça m’a mis un peu mal Ă  l’aise. Vu son calibre, SƓur Chen n’aurait pas dĂ» faire une chose pareille. Plus tard, quand j’ai discutĂ© avec elle, j’ai compris qu’elle n’était proactive dans ses devoirs qu’en apparence. Elle n’avait aucune comprĂ©hension de ses transgressions passĂ©es, et, alors qu’un problĂšme grave Ă©tait survenu dans son travail, elle n’avait pas rĂ©flĂ©chi sur elle-mĂȘme et n’en avait tirĂ© aucune leçon. Elle Ă©tait indiffĂ©rente. Ce n’est qu’alors que j’ai pris conscience que je l’avais peut-ĂȘtre cultivĂ©e trop prĂ©cocement, et qu’elle avait sans doute besoin de continuer Ă  s’isoler pour rĂ©flĂ©chir. Mais, rĂ©flexion faite, j’ai pensĂ© que SƓur Chen Ă©tait de bon calibre, qu’elle avait Ă©tĂ© dirigeante, et que si je l’aidais davantage, elle pourrait vite comprendre et se reprendre en main. Il fallait juste que je la forme et que j’amĂ©liore les rĂ©sultats du travail d’abreuvement, ensuite mes dirigeants m’approuveraient. Et donc, alors que je m’attendais Ă  obtenir de bons rĂ©sultats, un matin, ma partenaire m’a dit Les frĂšres et sƓurs ont Ă©crit pour dire que tu ne faisais pas ton devoir conformĂ©ment aux principes. Tu as arrangĂ©, par la force, que SƓur Chen, qui Ă©tait isolĂ©e, fasse le travail d’abreuvement. Durant cette pĂ©riode, SƓur Chen a eu de nombreux problĂšmes en abreuvant les nouveaux venus, mais elle n’a pas rĂ©flĂ©chi ni montrĂ© la moindre conscience d’elle-mĂȘme. Si l’on regarde son comportement habituel, elle s’avĂšre complĂštement inapte Ă  ĂȘtre cultivĂ©e, et les frĂšres et sƓurs recommandent qu’elle continue Ă  s’isoler et Ă  rĂ©flĂ©chir. » Quand j’ai entendu ce que ma partenaire disait, mon cƓur a failli s’arrĂȘter C’est fini. Je suis fichu ! Il ne s’agit pas de simples rĂ©actions, mais d’un rapport officiel, qui m’expose parce que je n’ai pas agi selon les principes. Ça fait des annĂ©es que je crois en Dieu, et je n’ai jamais Ă©tĂ© signalĂ© par quiconque. Que vont penser de moi mes frĂšres et sƓurs, maintenant ? » Je me suis alors senti trĂšs embarrassĂ©. J’ai pris un verre d’eau et j’en ai bu quelques gorgĂ©es, pour essayer de me calmer, mais mon cƓur Ă©tait aussi agitĂ© qu’une mer dĂ©montĂ©e Si mes dirigeants dĂ©couvrent le contenu de cette lettre, ils vont dire que je ne fais pas mon devoir conformĂ©ment aux principes, et que je perturbe le travail de l’Église. Vont-ils me dĂ©mettre, aprĂšs ça ? » Mon esprit Ă©tait en pleine effervescence. Finalement, je me suis avachi dans mon fauteuil comme une baudruche qui se dĂ©gonfle. Quand ma partenaire a vu mon Ă©tat, elle a dit Être surveillĂ©s et exposĂ©s par nos frĂšres et sƓurs nous aide. Maintenant, tu dois recevoir de Dieu. » J’ai promis de recevoir de Dieu, mais, en fait, je ne parvenais pas Ă  calmer mon esprit. Je n’ai pas pu manger ou dormir de la journĂ©e. Quand je pensais que les faits de mon comportement avaient Ă©tĂ© exposĂ©s dans cette lettre, cela me transperçait le cƓur. Je suis tombĂ© Ă  genoux, et j’ai priĂ© Dieu Dieu ! Je sais que Tu as de bonnes intentions en laissant tout ça m’arriver. S’il Te plaĂźt, aide-moi Ă  comprendre Ta volontĂ© et Ă  en tirer des leçons. » Plus tard, en rĂ©flĂ©chissant et en cherchant, j’ai lu ces paroles de Dieu. Quoi qu’ils fassent, les antĂ©christs ont toujours leurs propres buts et intentions, ils agissent toujours selon leur propre plan, et leur attitude envers les arrangements et le travail de la maison de Dieu est la suivante “Tu as peut-ĂȘtre un millier de projets, mais moi j’ai une rĂšgle” tout cela est dĂ©terminĂ© par la nature de l’antĂ©christ. Un antĂ©christ peut-il changer sa mentalitĂ© et agir selon les principes de la vĂ©ritĂ© ? Ce serait absolument impossible. [
] Quel que soit le devoir qu’ils accomplissent, les antĂ©christs s’en tiennent toujours au mĂȘme principe il faut qu’ils glanent un bĂ©nĂ©fice. Le genre de travail que les antĂ©christs aiment le plus, c’est quand cela ne leur coĂ»te rien, quand ils n’ont pas Ă  souffrir ni Ă  payer un prix, et qu’il y a un avantage pour leur rĂ©putation et leur statut. En somme, quoi qu’ils fassent, les antĂ©christs se prĂ©occupent d’abord de leurs propres intĂ©rĂȘts et n’agissent qu’une fois qu’ils ont rĂ©flĂ©chi Ă  tout. Ils n’obĂ©issent pas vraiment, sincĂšrement et absolument Ă  la vĂ©ritĂ© sans compromis, mais le font de maniĂšre sĂ©lective et conditionnelle. De quelle condition s’agit-il ? Leur statut et leur rĂ©putation doivent ĂȘtre sauvegardĂ©s et ne doivent subir aucune perte. Ce n’est qu’une fois cette condition satisfaite qu’ils dĂ©cideront et choisiront quoi faire. C’est-Ă -dire que les antĂ©christs rĂ©flĂ©chissent sĂ©rieusement Ă  la maniĂšre de traiter les principes de la vĂ©ritĂ©, les commissions de Dieu et le travail de la maison de Dieu, et Ă  la façon de gĂ©rer ce Ă  quoi ils sont confrontĂ©s. Ils ne se soucient pas d’accomplir la volontĂ© de Dieu, d’éviter de nuire aux intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, de satisfaire Dieu ni d’ĂȘtre utiles aux frĂšres et sƓurs ce ne sont pas ces choses-lĂ  qui les prĂ©occupent. Qu’est-ce qui prĂ©occupe les antĂ©christs ? C’est de savoir si leur propre statut et leur rĂ©putation seront affectĂ©s, et si leur prestige sera amoindri. Si faire quelque chose selon les principes de la vĂ©ritĂ© doit ĂȘtre bĂ©nĂ©fique au travail de l’Église et apporter des avantages aux frĂšres et sƓurs, mais en mĂȘme temps porter un coup Ă  leur propre rĂ©putation et faire que leur vraie stature, leur nature et leur essence soient rĂ©vĂ©lĂ©es Ă  beaucoup de gens, alors il est certain qu’ils n’agiront pas conformĂ©ment aux principes de la vĂ©ritĂ©. Si faire un quelconque travail concret amĂšne plus de gens Ă  avoir une haute opinion d’eux, Ă  les admirer et Ă  les vĂ©nĂ©rer, et qu’ainsi leurs paroles seront chargĂ©es d’autoritĂ© et amĂšneront davantage de gens Ă  se soumettre Ă  eux, alors ils choisiront d’agir de cette maniĂšre ; sinon, ils n’accorderont absolument aucune considĂ©ration aux intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu ni Ă  ceux des frĂšres et sƓurs, et n’iront pas mettre de cĂŽtĂ© leurs propres intĂ©rĂȘts. Telles sont la nature et l’essence des antĂ©christs » Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intĂ©rĂȘts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, et vendent mĂȘme ces intĂ©rĂȘts en Ă©change de la gloire personnelle Partie III », dans Exposer les antĂ©christs. GrĂące Ă  cette parole de Dieu, j’ai compris que tout ce que les antĂ©christs font, ils le font pour protĂ©ger leur rĂ©putation et leur statut. Quand leur rĂ©putation et leur statut ne sont pas en jeu, ils sont capables d’agir selon les principes de la vĂ©ritĂ©, mais si agir selon ces principes risque de menacer leur rĂ©putation et leur statut, les antĂ©christs violent ouvertement les principes et agissent arbitrairement, en suivant leurs propres idĂ©es. Pour protĂ©ger leurs intĂ©rĂȘts, ils sont prĂȘts Ă  nuire Ă  ceux de la maison de Dieu. J’ai rĂ©flĂ©chi Ă  ce que j’avais fait depuis que j’étais devenu dirigeant, et j’ai vu que j’avais Ă©tĂ© comme les antĂ©christs rĂ©vĂ©lĂ©s par la parole de Dieu. J’avais voulu accomplir quelque chose rapidement, pour prouver que j’étais compĂ©tent et capable de faire un travail pratique, pour que mes supĂ©rieurs, et mes frĂšres et sƓurs, voient qu’en me nommant dirigeant, ils avaient fait le bon choix. Quand j’avais choisi et utilisĂ© des gens, je n’avais donc pas du tout cherchĂ© les principes de la vĂ©ritĂ©, je n’avais pas essayĂ© de favoriser le travail de la maison de Dieu, je n’avais pas Ă©coutĂ© les conseils, et j’avais insistĂ© pour prendre les dĂ©cisions tout seul. Quand j’avais vu que SƓur Wu n’arrangeait pas les rĂ©unions et les devoirs des nouveaux venus en se basant sur leur situation rĂ©elle, j’avais ignorĂ© son Ă©tat et ses difficultĂ©s, je ne l’avais pas aidĂ©e Ă  trouver la racine de ses problĂšmes, Ă  entrer dans les principes, pour qu’elle Ă©vite de refaire les mĂȘmes erreurs. J’avais pensĂ© qu’elle n’obtenait pas de rĂ©sultats, ce qui allait nuire Ă  ma rĂ©putation, Ă  mon statut, alors je l’avais cataloguĂ©e injustement et exclue, j’avais voulu la renvoyer. Pour protĂ©ger ma rĂ©putation et mon statut, j’avais ignorĂ© les principes et les conseils de mes collaborateurs, et j’avais dĂ©mis SƓur Wu de force. Pourtant, je n’avais eu ni amour ni patience Ă  son Ă©gard. Je savais qu’elle avait du mal Ă  accomplir son devoir, mais je n’avais pas Ă©changĂ© avec elle pour l’aider, je l’avais dĂ©mise directement. J’étais comme un meurtrier sans pitiĂ©. J’étais vraiment inhumain ! AprĂšs avoir dĂ©mis SƓur Wu, la nouvelle sƓur que j’avais choisie avait Ă©tĂ© incapable de faire son travail, ce qui avait directement affectĂ© l’abreuvement. MĂȘme alors, je n’avais pas su rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme, et j’avais continuĂ© Ă  promouvoir quelqu’un qui avait perturbĂ© le travail de l’Église, en prĂ©textant que je cultivais le talent et que j’amĂ©liorais le travail d’abreuvement. J’avais mĂȘme sorti les choses de leur contexte, et dit, contre toute logique, que nous devions lui laisser une chance de se repentir. J’avais traitĂ© la diaconesse d’abreuvement parce qu’elle suivait les rĂšgles aveuglĂ©ment, au point qu’elle avait eu peur de me contredire. RĂ©sultat, SƓur Chen n’avait pas convenu du tout, et elle avait nui au travail d’abreuvement. J’ai vu que, pour protĂ©ger ma rĂ©putation et mon statut, j’étais prĂȘt Ă  prendre des raccourcis dans mon devoir, Ă  ignorer les principes et les rappels. MĂȘme aprĂšs avoir Ă©tĂ© signalĂ© et exposĂ©, je m’étais uniquement inquiĂ©tĂ© de la façon dont les dirigeants allaient me percevoir. Je n’avais pas rĂ©flĂ©chi aux causes de mes Ă©checs, j’avais protĂ©gĂ© ma rĂ©putation et mon statut avec entĂȘtement, et laissĂ© les intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu en pĂątir, pour sauvegarder mes propres intĂ©rĂȘts. Ce que je manifestais, c’était le tempĂ©rament d’un antĂ©christ ! Plus tard, en cherchant, j’ai lu ceci dans la parole de Dieu Si quelqu’un dit qu’il aime la vĂ©ritĂ© et qu’il recherche la vĂ©ritĂ© mais qu’en substance, le but qu’il poursuit est de se distinguer, de se montrer, de faire en sorte que les gens aient une haute opinion de lui, de rĂ©aliser ses propres intĂ©rĂȘts et que le but de l’accomplissement de son devoir n’est pas d’obĂ©ir Ă  Dieu ni de Le satisfaire, mais plutĂŽt d’obtenir un prestige et un statut, alors sa poursuite est illĂ©gitime. Ceci Ă©tant, par rapport au travail de l’Église, ses actions sont-elles un obstacle, ou est-ce qu’elles contribuent Ă  le faire avancer ? Elles sont clairement un obstacle elles ne le font pas avancer. Tous ceux qui brandissent la banniĂšre de l’accomplissement du travail de l’Église tout en poursuivant leur prestige et leur statut personnels, en faisant tourner leur entreprise, en crĂ©ant leur propre petit groupe, leur propre petit royaume, sont-ils le genre de personne qui accomplit son devoir ? Essentiellement, tout le travail qu’ils font interrompt, perturbe et entrave le travail de l’Église. Quelle est la consĂ©quence de leur poursuite du statut et du prestige ? PremiĂšrement, cela affecte la façon dont les Ă©lus de Dieu mangent et boivent la parole de Dieu et comprennent la vĂ©ritĂ©, cela entrave leur entrĂ©e dans la vie, cela les empĂȘche d’emprunter le droit chemin de la foi en Dieu et les conduit sur le mauvais chemin ce qui nuit aux Ă©lus et les mĂšne Ă  la ruine. Et quelle en est finalement l’incidence sur le travail de l’Église ? C’est un dĂ©mantĂšlement, une interruption et une altĂ©ration » Ils ne font leur devoir que pour se distinguer et nourrir leurs propres intĂ©rĂȘts et ambitions ; ils ne tiennent jamais compte des intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, et vendent mĂȘme ces intĂ©rĂȘts en Ă©change de la gloire personnelle Partie I », dans Exposer les antĂ©christs. AprĂšs avoir lu cette parole de Dieu, j’ai compris que lorsque l’on poursuit la rĂ©putation et le statut sous la banniĂšre de l’accomplissement du devoir, l’essence de tout cela c’est que l’on agit comme des serviteurs de Satan et que l’on perturbe le travail de la maison de Dieu. La parole de Dieu a rĂ©vĂ©lĂ© l’essence de mes actes. Dieu m’avait exaltĂ© pour que je sois dirigeant parce qu’Il espĂ©rait que je tienne compte de Sa volontĂ©, que j’abreuve bien mes frĂšres et sƓurs, que je rĂ©solve leurs difficultĂ©s, et leurs problĂšmes d’entrĂ©e dans la vie, que je promeuve et forme des gens appropriĂ©s afin qu’ils fassent les diverses tĂąches de l’Église et qu’ils s’assurent que le travail de l’Église se dĂ©roulait normalement. Mais je n’avais pas tenu compte de la volontĂ© et des exigences de Dieu, et je n’avais pas assumĂ© mes responsabilitĂ©s en tant que dirigeant. Quand j’avais choisi et utilisĂ© des gens, je n’avais tenu compte que de mes propres intĂ©rĂȘts. Par consĂ©quent, je n’avais pas soutenu les nouveaux arrivants, et, en plus, j’avais entravĂ© le travail d’abreuvement, ce qui avait amenĂ© des nouveaux venus Ă  se retirer. En quoi avais-je fait mon devoir ? J’avais perturbĂ© le travail de la maison de Dieu, et fait le mal ! Je n’avais vraiment eu aucune conscience. J’étais trop Ă©goĂŻste et trop indiffĂ©rent. J’ai pensĂ© aux antĂ©christs et aux gens malfaisants qui avaient Ă©tĂ© expulsĂ©s de l’Église. Ils intriguaient sans cesse pour leur propre bĂ©nĂ©fice, ignoraient les principes de la vĂ©ritĂ© pour prĂ©server rĂ©putation et statut, ils faisaient leurs devoirs arbitrairement et de façon tyrannique, perturbaient gravement le travail de la maison de Dieu, et, du fait de leurs actes malfaisants, ils finissaient par ĂȘtre dĂ©testĂ©s et bannis par Dieu. Il n’y avait aucune diffĂ©rence, sur le fond, entre ce que je faisais et les actes des antĂ©christs ! Quand j’ai compris ça, j’en ai eu des sueurs froides, et j’ai priĂ© Dieu Dieu, j’ai Ă©tĂ© nĂ©gligent dans mon devoir. J’ai poursuivi la gloire, le statut et la rĂ©ussite rapide, et j’ai pris le mauvais chemin. Dieu, je souhaite me repentir devant Toi. S’il Te plaĂźt, guide-moi et aide-moi. » Plus tard, en rĂ©flĂ©chissant et en cherchant, j’ai compris que pour ĂȘtre efficace dans notre devoir, nous devons avoir de bonnes intentions, nous concentrer sur la recherche de la vĂ©ritĂ©, et agir selon les principes. C’est seulement alors que nous pouvons recevoir la direction de Dieu, et amĂ©liorer continuellement nos rĂ©sultats. J’ai songĂ© Ă  ces paroles de Dieu Lorsque les gens acceptent une commission de Dieu, ils doivent d’abord comprendre la volontĂ© de Dieu pour pouvoir remplir leurs devoirs et accomplir leur mission. Il faut que tu saches que cette commission est venue de Dieu c’est Sa volontĂ© et tu dois l’accepter, en ĂȘtre conscient et, plus important encore, t’y soumettre. De plus, tu dois chercher des rĂ©ponses sur les vĂ©ritĂ©s qu’il faut que tu comprennes, sur les principes que tu dois respecter et sur la maniĂšre dont tu dois pratiquer, afin d’apporter un avantage aux Ă©lus de Dieu et au travail de la maison de Dieu lorsque tu accomplis ce devoir. Ce sont lĂ  les principes selon lesquels tu dois pratiquer. Une fois que tu as compris la volontĂ© de Dieu, tu ne dois pas perdre de temps Ă  chercher et Ă  essayer de comprendre les vĂ©ritĂ©s pour accomplir ce genre de devoir, et une fois que tu as compris ces vĂ©ritĂ©s, tu dois dĂ©terminer les principes et le chemin pour les mettre en pratique. À quoi les “principes” font-ils rĂ©fĂ©rence ? De façon spĂ©cifique, les principes font rĂ©fĂ©rence aux choses qui doivent ĂȘtre suivies pour atteindre les normes et les effets de la pratique de la vĂ©ritĂ©. Pour pratiquer la vĂ©ritĂ©, les gens doivent avoir saisi le principe le principe est la chose la plus cruciale et la plus fondamentale. Une fois que tu maĂźtrises les principes de base pour accomplir ton devoir, c’est la preuve que tu maĂźtrises les normes requises pour accomplir ce devoir, et maĂźtriser le principe Ă©quivaut Ă  ĂȘtre capable de mettre la vĂ©ritĂ© en pratique. Alors, sur quelle base repose cette capacitĂ© Ă  pratiquer la vĂ©ritĂ© ? Sur la comprĂ©hension de la volontĂ© de Dieu et sur la comprĂ©hension de la vĂ©ritĂ©. Le simple fait d’ĂȘtre conscient de ce que Dieu demande revient-il Ă  comprendre la vĂ©ritĂ© ? Ce n’est pas le cas alors, quelle norme est requise pour que cela revienne Ă  comprendre la vĂ©ritĂ© ? Il faut que tu comprennes quelle sont la signification et la valeur de l’accomplissement de ton devoir comprendre ces deux choses, c’est comprendre la vĂ©ritĂ© de l’accomplissement de ton devoir. De plus, une fois que tu as compris la vĂ©ritĂ©, tu dois te familiariser avec les principes de l’accomplissement de ton devoir et avec le chemin de pratique. Si tu es capable de saisir et d’appliquer les principes pour accomplir ce devoir et que tu peux Ă©galement faire preuve de sagesse en cas de besoin, alors tu es assurĂ© d’ĂȘtre efficace dans l’accomplissement de ce devoir ; et quand tu saisiras le principe et feras les choses selon le principe, cela reviendra Ă  pratiquer la vĂ©ritĂ©. S’il n’est pas entachĂ© d’idĂ©es humaines, qu’il est exĂ©cutĂ© dans l’obĂ©issance absolue aux exigences de Dieu et conformĂ©ment aux arrangements de travail de la maison de Dieu, et qu’il est en plein accord avec les paroles de Dieu, alors l’accomplissement de ton devoir est entiĂšrement conforme aux normes, et mĂȘme s’il peut y avoir une certaine diffĂ©rence entre ton efficacitĂ© et ce que Dieu exige, cela comptera toujours comme rĂ©pondant aux exigences de Dieu. Si tu as accompli ton devoir en plein accord avec le principe et avec dĂ©votion, que tu y as consacrĂ© tous tes efforts, alors tu l’as accompli de façon pleinement conforme Ă  la volontĂ© de Dieu et tu es parvenu Ă  accomplir le devoir d’une crĂ©ature de Dieu de tout ton cƓur, de tout ton esprit et de toutes tes forces ce qui est l’effet obtenu en pratiquant la vĂ©ritĂ© » Ils essaient de rallier les gens Ă  leur cause », dans Exposer les antĂ©christs. Les paroles de Dieu Ă©taient trĂšs claires. Pour accepter la commission de Dieu, nous devons d’abord chercher Sa volontĂ©, chercher les principes de notre devoir dans lesquels nous devons entrer, comprendre la vĂ©ritĂ©, obĂ©ir Ă  Dieu, et suivre strictement les principes de la vĂ©ritĂ© dans notre devoir. Quand nous faisons notre devoir, nous devons aussi tenir compte des intĂ©rĂȘts de la maison de Dieu, nous examiner nous-mĂȘmes souvent, et ne pas comploter pour notre profit personnel. Cela rĂ©duit l’adultĂ©ration de nos propres idĂ©es, et les erreurs que nous commettons dans nos devoirs. J’ai pensĂ© que j’avais agi uniquement par ambition et dĂ©sir dans mon devoir, que j’avais rarement cherchĂ© les principes de la vĂ©ritĂ©, et que, mĂȘme quand j’avais acquis des connaissances, je n’avais pas obĂ©i. Il est essentiel que le personnel d’abreuvement soit capable d’échanger clairement sur la vĂ©ritĂ©, d’avoir de la patience et de se montrer responsable. SƓur Wu Ă©tait responsable dans son devoir, elle Ă©tait aimante et patiente avec les nouveaux venus. Quels que soient les Ă©tats ou les difficultĂ©s des nouveaux venus, elle pouvait Ă©changer activement et rĂ©soudre leurs problĂšmes, elle comprenait aussi certains principes de l’abreuvement des nouveaux venus. Dans le passĂ©, elle s’était montrĂ©e efficace dans son devoir, et elle ne commettait des erreurs maintenant qu’à cause de difficultĂ©s qu’elle ne parvenait pas Ă  gĂ©rer. Vu la situation, nous devions lui offrir Ă©change et aide, par amour, ou bien la traiter, l’émonder, l’exposer et la rĂ©primander, et non simplement la dĂ©mettre. De plus, quand j’avais vu que SƓur Chen Ă©tait enthousiaste et amicale en apparence, j’avais imaginĂ© qu’elle Ă©tait apte Ă  ĂȘtre cultivĂ©e, mais dĂ©sormais, je comprenais que ce n’était pas conforme aux principes. Les gens qui ont une mauvaise humanitĂ©, qui font le mal et perturbent le travail de la maison de Dieu, ne doivent pas ĂȘtre cultivĂ©s. SƓur Chen dĂ©sirait avec force la renommĂ©e et le statut, elle avait souvent luttĂ© pour les obtenir autrefois, et elle avait perturbĂ© le travail de l’Église. AprĂšs avoir Ă©tĂ© dĂ©mise et isolĂ©e, elle n’avait jamais montrĂ© une comprĂ©hension authentique de ses transgressions. Elle suivait encore le mauvais chemin dans son devoir, et Ă©tait capable Ă  tout moment de perturber le travail de l’Église. On ne peut pas cibler les gens comme elle pour les cultiver sĂ©rieusement. J’ai vu que je ne connaissais pas les principes du renvoi et de l’utilisation des gens, et que j’agissais donc par ambition et par dĂ©sir, ce qui perturbait et entravait le travail de la maison de Dieu. Cela nuisait Ă©galement Ă  SƓur Chen, c’était dĂ©sastreux pour elle. Quand j’ai compris tout ça, j’ai remerciĂ© Dieu pour avoir arrangĂ© la lettre Ă©crite par mes frĂšres et sƓurs afin de me signaler et de m’exposer, ce qui m’avait empĂȘchĂ© de continuer Ă  suivre mon chemin malfaisant. Plus tard, j’ai lu un autre passage de la parole de Dieu. Dans la maison de Dieu, quoi que tu fasses, tu ne travailles pas Ă  ta propre entreprise il s’agit du travail de la maison de Dieu, il s’agit de l’Ɠuvre de Dieu. Tu dois constamment garder cette connaissance et cette perception Ă  l’esprit et dire “Ceci n’est pas une affaire qui m’est propre, je fais mon devoir et j’assume ma responsabilitĂ©. Je fais le travail de l’Église. C’est une tĂąche que Dieu m’a confiĂ©e et je la fais pour Lui. C’est mon devoir, et non ma propre affaire privĂ©e.” C’est la premiĂšre chose que les gens doivent comprendre. Si tu considĂšres un devoir comme ton affaire personnelle et que tu ne recherches pas les principes de la vĂ©ritĂ© lorsque tu agis, et que tu l’accomplis selon tes propres motivations, tes propres idĂ©es et ton propre dessein, alors tu commettras trĂšs probablement des erreurs. Comment, donc, dois-tu agir si tu fais une distinction trĂšs claire entre ton devoir et tes affaires personnelles et que tu es conscient qu’il s’agit d’un devoir ? En cherchant ce que Dieu demande et en cherchant des principes. C’est vrai. Si quelque chose t’arrive et que tu ne comprends pas la vĂ©ritĂ©, et que tu as une idĂ©e mais que les choses ne sont toujours pas claires pour toi, alors tu dois trouver un frĂšre ou une sƓur qui comprend la vĂ©ritĂ©, avec qui Ă©changer c’est la recherche de la vĂ©ritĂ©, et c’est avant tout l’attitude que tu dois avoir vis-Ă -vis de ton devoir. Tu ne dois pas dĂ©cider des choses en fonction de ce que tu penses ĂȘtre appropriĂ©, puis donner le coup de marteau et dire que l’affaire est classĂ©e cela mĂšne facilement Ă  des problĂšmes. Un devoir n’est pas ton affaire personnelle qu’elles soient majeures ou mineures, les affaires de la maison de Dieu ne sont l’affaire personnelle de personne. Tant que cela se rapporte au devoir, ce n’est pas ton affaire privĂ©e, ce n’est pas ton affaire personnelle il s’agit de la vĂ©ritĂ©, et il s’agit du principe. Alors, quelle est la premiĂšre chose que vous devez faire ? Vous devez rechercher la vĂ©ritĂ© et rechercher les principes. Et si vous ne comprenez pas la vĂ©ritĂ©, vous devez d’abord rechercher les principes ; si vous comprenez dĂ©jĂ  la vĂ©ritĂ©, identifier les principes sera facile » Comment accomplir son devoir de façon satisfaisante ? », dans Sermons de Christ des derniers jours. Cette parole de Dieu m’a donnĂ© un chemin de pratique. Les devoirs sont des commissions de Dieu, il ne s’agit pas d’affaires personnelles, nous ne pouvons donc pas les faire Ă  notre guise, pour satisfaire nos intĂ©rĂȘts personnels. En toutes choses, nous devons chercher les principes de la vĂ©ritĂ©, et pratiquer selon les exigences de Dieu. Quand vous ne comprenez pas, vous devez Ă©changer et chercher avec les autres. Quoi que les autres pensent, vous n’avez qu’à accepter l’examen de Dieu et faire de votre mieux. MĂȘme s’il y a parfois des erreurs dans votre travail, et si vous n’obtenez pas rapidement de bons rĂ©sultats, si vous faites les choses devant Dieu, et non pour que les autres le voient, vous suivez le bon chemin, et Dieu vous guidera et vous bĂ©nira. Plus tard, je me suis ouvert Ă  mes frĂšres et sƓurs au sujet de moi-mĂȘme j’ai exposĂ© comment j’avais fait mon devoir pour la rĂ©putation et le statut, mon dĂ©sir de rĂ©ussite rapide, mes violations du principe quand j’utilisais des gens, comment j’avais agi arbitrairement, et traitĂ© et rĂ©primandĂ© abusivement, ce qui leur avait fait du tort. Je leur ai prĂ©sentĂ© mes excuses solennelles, et je leur ai demandĂ© de me surveiller davantage. Quand j’ai pratiquĂ© de cette façon, mes frĂšres et sƓurs ne m’ont pas regardĂ© de haut, ils m’ont encouragĂ©, et dit que nous pouvions nous superviser les uns les autres et travailler ensemble pour bien faire nos devoirs. BientĂŽt, il s’est passĂ© autre chose la diaconesse d’évangĂ©lisation a Ă©tĂ© temporairement dans l’incapacitĂ© de faire son devoir, parce que sa famille l’en empĂȘchait. Apprendre cette nouvelle m’a rendu un peu nerveux. Je me suis dit Actuellement, les Églises font tout ce qu’elles peuvent pour prĂȘcher l’Évangile, donc, si la diaconesse d’évangĂ©lisation ne peut pas accomplir son devoir, cela va gravement affecter notre travail ! Si je ne la remplace pas Ă  temps, nos rĂ©sultats ne s’amĂ©lioreront jamais. Mes supĂ©rieurs vont forcĂ©ment penser que je suis incompĂ©tent, que je ne conviens pas Ă  ce poste. » Alors j’ai discutĂ© avec ma partenaire pour dĂ©cider s’il fallait transfĂ©rer cette diaconesse et trouver quelqu’un pour la remplacer. Ma partenaire m’a dit Cette diaconesse d’évangĂ©lisation s’est toujours montrĂ©e responsable et compĂ©tente, et son travail d’évangĂ©lisation donne de bons rĂ©sultats, si tu la transfĂšres simplement parce que, temporairement, elle ne peut pas gĂ©rer l’obstruction de sa famille, cela va Ă  l’encontre des principes. » Alors que j’allais dĂ©fendre ma position, je me suis souvenu tout d’un coup que j’avais remplacĂ© SƓur Wu par la force. N’étais-je pas de nouveau en train d’agir pour protĂ©ger ma rĂ©putation et mon statut ? Ma partenaire me rappelait que je devais accomplir mon devoir selon les principes, j’avais failli commettre une nouvelle faute grave. J’ai remerciĂ© Dieu dans mon cƓur, et j’ai dit Ă  ma partenaire Mes intentions sont erronĂ©es je veux transfĂ©rer cette diaconesse sans principes, pour protĂ©ger ma rĂ©putation. Elle est responsable, c’est une personne correcte. Si elle ne peut pas faire son travail en ce moment, nous n’avons qu’à prendre la relĂšve et nous charger du travail d’évangĂ©lisation. Informons-nous Ă©galement de sa situation et essayons de la soutenir et de l’aider. » AprĂšs m’avoir Ă©coutĂ©, ma partenaire a acquiescĂ©, et je me suis senti Ă  l’aise en pratiquant de cette façon. Ensuite, quand j’ai fait mon devoir, je me suis souvent demandĂ© Ai-je accompli mon devoir conformĂ©ment aux principes de la vĂ©ritĂ© aujourd’hui ? Ai-je interagi avec les gens avec un tempĂ©rament corrompu ? » Si je faisais quelque chose qui n’était pas conforme aux principes, et Ă  la volontĂ© de Dieu, je priais Dieu de m’aider Ă  changer. En pratiquant ainsi, j’ai vu les bĂ©nĂ©dictions de Dieu, le travail de l’Église s’est amĂ©liorĂ©, et mes frĂšres et sƓurs ont pu accomplir activement leurs devoirs. Dieu soit louĂ© ! Nulen maths depuis toujours? Dites-vous qu’il n’est plus nĂ©cessaire dĂ©sormais de vous tracasser en ce qui concerne les multiplications et encore Par Li Jin, Chine En 2014, quand j’étais une dirigeante d’Église, j’étais assez efficace dans mon devoir et j’avais de l’expĂ©rience, alors je croyais comprendre la vĂ©ritĂ©. Quand des problĂšmes surgissaient, j’agissais souvent arbitrairement, sans chercher les principes de la vĂ©ritĂ©. À un moment, on m’a signalĂ© que les dirigeants de deux Églises avaient une mauvaise humanitĂ©, qu’ils opprimaient et Ă©touffaient les autres. J’ai Ă©coutĂ© les rapports, je les ai crus et, sans examiner les faits, j’ai renvoyĂ© l’un des dirigeants, qui Ă©tait capable de travail concret, et j’ai failli expulser l’un des autres dirigeants par erreur, ce qui a gravement affectĂ© le travail des deux Églises. Mes supĂ©rieurs m’ont traitĂ©e sĂ©vĂšrement parce que je faisais mon devoir arbitrairement, n’agissais pas en accord avec les principes de la vĂ©ritĂ© et renvoyais des gens comme bon me semblait. Mais je me connaissais encore mal, je me suis dĂ©fendue et justifiĂ©e, et je me suis dit que tout le monde commettait des erreurs dans son devoir. Parce que je n’acceptais pas la vĂ©ritĂ©, que j’agissais souvent Ă  l’encontre des principes, de maniĂšre arbitraire, et que mon travail n’avait pas d’effet concret, mes supĂ©rieurs m’ont renvoyĂ©e. AprĂšs mon renvoi, au lieu d’arranger un autre devoir pour moi, ils m’ont dit de m’adonner Ă  une rĂ©flexion spirituelle chez moi. À ce moment-lĂ , je n’ai pas compris la volontĂ© de Dieu et j’ai Ă©tĂ© trĂšs nĂ©gative. Je me disais que je croyais en Dieu depuis des annĂ©es, que j’avais renoncĂ© Ă  mon mariage, quittĂ© mon emploi et qu’il m’arrivait souvent de travailler alors que j’étais malade. MĂȘme si je n’avais gagnĂ© aucun mĂ©rite, j’avais au moins travaillĂ© dur. Être renvoyĂ©e Ă©tait dĂ©jĂ  un coup dur, mais on m’annonçait en plus que je ne pouvais accomplir aucun devoir. Comme je n’avais commis que deux erreurs, je trouvais qu’il Ă©tait trop sĂ©vĂšre de me traiter de cette maniĂšre, surtout quand je voyais des gens qui n’étaient pas dirigeants ni ouvriers poursuivre leur devoir, alors que moi, qui avais Ă©tĂ© dirigeante, n’en avais plus. Je me disais Je ne peux pas ĂȘtre dirigeante, apparemment. Il y a des critĂšres Ă©levĂ©s et des exigences strictes pour ĂȘtre dirigeant. Il suffit d’ĂȘtre un peu nĂ©gligent pour que notre vie de foi en Dieu s’achĂšve. Comment peut-on avoir une fin et une destination si on ne peut mĂȘme pas ĂȘtre un exĂ©cutant ? Quoi qu’il arrive, je ne serai plus une dirigeante Ă  l’avenir. » AprĂšs ça, pendant des annĂ©es, j’ai fait du travail textuel dans l’Église. MĂȘme si j’ai eu des occasions de me prĂ©senter Ă  des Ă©lections de dirigeants ou d’ouvriers, j’ai toujours Ă©vitĂ© d’y prendre part. Je n’avais pas conscience de mon problĂšme, Ă  ce moment-lĂ . Je pensais qu’il Ă©tait sage de faire ça. En mai 2020, mes frĂšres et sƓurs m’ont encouragĂ©e Ă  me prĂ©senter Ă  une Ă©lection. J’ai Ă©tĂ© en proie Ă  un conflit intĂ©rieur. Mon travail me convenait et je n’avais pas envie de participer Ă  l’élection. Que je sois choisie comme dirigeante n’augurerait rien de bon. Je pensais qu’ĂȘtre dirigeant Ă©tait un travail difficile et ingrat. Il est obligatoire de bien le faire et, en cas d’erreur, les dirigeants sont toujours tenus responsables. On peut dire Ă  juste titre Tout le monde en tire les bĂ©nĂ©fices, mais une seule personne est blĂąmĂ©e. » Quand j’avais Ă©tĂ© dirigeante, prĂ©cĂ©demment, j’avais transgressĂ©. Si je servais de nouveau comme dirigeante et faisais quelque chose Ă  l’encontre des principes, causant un grand tort au travail de la maison de Dieu, au mieux, je serais renvoyĂ©e, au pire, je serais expulsĂ©e, ce qui me ferait perdre ma chance de salut. Voyant les choses comme ça, j’ai rĂ©pondu que mon problĂšme cardiaque s’était aggravĂ© et que je ne pouvais pas participer Ă  l’élection. Je me suis sentie un peu coupable, sur le coup. N’évitais-je pas l’élection ? Mais je pensais que je n’étais vraiment pas Ă  la hauteur d’un poste de dirigeante et mon cƓur me faisais souffrir, alors j’avais une bonne raison de me dĂ©filer. Cette pensĂ©e a eu raison de mon malaise et de ma culpabilitĂ©. Un mois plus tard, la dirigeante a dit dans une lettre que les frĂšres et sƓurs m’avaient de nouveau choisie comme candidate. AprĂšs avoir lu la lettre, je me suis demandĂ© Pourquoi me recommandent-ils comme candidate ? Être un dirigeant est si dangereux ! ÒȘa reprĂ©sente beaucoup de travail et de problĂšmes, et je pourrais ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©e n’importe quand. Il y a eu des gens, autour de moi, qui ne semblaient pas avoir de problĂšme tant qu’ils n’étaient pas dirigeants, mais dĂšs qu’ils le sont devenus, ils ont Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©s comme faux dirigeants et renvoyĂ©s, ou identifiĂ©s comme des antĂ©christs et expulsĂ©s. Il semble que le statut rĂ©vĂšle effectivement les gens. » J’ai donc dĂ©cidĂ© de ne pas me prĂ©senter Ă  l’élection. Mais la dirigeante a dit que je devais ĂȘtre lĂ  Ă  l’heure, alors j’y suis allĂ©e Ă  contrecƓur. Je n’ai pas eu grand-chose Ă  dire au cours de ces journĂ©es de rĂ©unions. Quand est venu le moment de voter, j’ai hĂ©sitĂ© un long moment. Finalement, j’ai dit Ă  tout le monde Je m’abstiens. Je ne voterai pas et je ne me prĂ©senterai pas. » Peu aprĂšs mon retour Ă  la maison, ma maladie est rĂ©apparue. J’ai eu la diarrhĂ©e, de la fiĂšvre, et les mĂ©dicaments ne me faisaient rien. AprĂšs plusieurs jours, mon Ă©tat s’est enfin amĂ©liorĂ©, mais mes bras et mon cou se sont couverts de taches rouges. ÒȘa s’est aggravĂ©. DĂšs que je commençais Ă  transpirer, tout mon corps me faisait mal. En quelques jours, j’ai Ă©tĂ© complĂštement Ă©puisĂ©e par ces maladies. J’ai compris que je n’étais pas malade par hasard, que c’était la discipline de Dieu, mais je ne savais pas comment rĂ©flĂ©chir. J’ai priĂ© Dieu, Lui demandant de me guider pour que je me connaisse et que j’en tire une leçon. Plus tard, quand ma dirigeante a appris que je souffrais de ces maladies, elle m’a conseillĂ© de rĂ©flĂ©chir sur mon attitude envers l’élection et elle a trouvĂ© un passage de la parole de Dieu qui concernait mon Ă©tat. Avec une nature satanique, une fois que les gens obtiennent un statut, ils sont en danger. Alors que faut-il faire ? N’ont-ils aucun chemin Ă  suivre ? Ce fait ne peut-il pas ĂȘtre changĂ© ? Dites-moi, au moment oĂč des gens corrompus obtiennent un statut – indĂ©pendamment de qui ils sont – deviennent-ils des antĂ©christs ? Est-ce absolu ? S’ils ne poursuivent pas la vĂ©ritĂ©, alors ils deviendront des antĂ©christs, mais s’ils poursuivent la vĂ©ritĂ©, ce ne sera pas le cas. C’est absolument vrai si les gens ne recherchent pas la vĂ©ritĂ©, ils deviendront Ă  coup sĂ»r des antĂ©christs. Et est-il vrai que tous ceux qui marchent sur le chemin des antĂ©christs le font Ă  cause de leur statut ? Non, c’est surtout parce qu’ils n’aiment pas la vĂ©ritĂ©, parce qu’ils n’ont pas raison. Qu’ils aient un statut ou non, les gens qui ne recherchent pas la vĂ©ritĂ© marchent tous sur le chemin des antĂ©christs. Quel que soit le nombre de sermons qu’ils ont entendus, ces gens n’acceptent pas la vĂ©ritĂ©, ils ne suivent donc pas le bon chemin et ils suivent donc inĂ©vitablement le chemin tortueux. C’est comme la maniĂšre de se nourrir certains, au lieu de consommer des aliments pouvant nourrir sainement leur corps et favoriser une existence normale, prĂ©fĂšrent consommer des choses qui leur font du mal et, au bout du compte, se tirer une balle dans le pied. N’est-ce pas leur propre choix ? Quand ils sont rejetĂ©s, certains dirigeants et ouvriers diffusent des notions, ils disent “Ne soyez pas dirigeants, et n’allez pas obtenir un statut. Les gens sont en danger dĂšs l’instant oĂč ils obtiennent un quelconque statut, et Dieu les exposera ! Une fois exposĂ©s, ils ne seront mĂȘme pas en mesure d’ĂȘtre des croyants ordinaires et ils ne recevront aucune bĂ©nĂ©diction.” Qu’est-ce que cela signifie donc ? Au mieux, cela reflĂšte une mauvaise perception de Dieu ; au pire, c’est un blasphĂšme contre Lui. Si tu ne suis pas le bon chemin, que tu ne poursuis pas la vĂ©ritĂ© et que tu ne suis pas la voie de Dieu mais persistes Ă  emprunter la voie des antĂ©christs pour te retrouver sur le chemin de Paul et finir par connaĂźtre le mĂȘme sort, la mĂȘme fin que lui, Ă  blĂąmer Dieu et Le juger injuste, n’es-tu pas alors un vĂ©ritable exemple d’antĂ©christ ? Une telle conduite est maudite ! Lorsque les gens ne comprennent pas la vĂ©ritĂ©, ils vivent toujours selon leurs notions et leurs imaginations, interprĂštent frĂ©quemment Dieu de maniĂšre erronĂ©e et sentent que les actions de Dieu sont en contradiction avec leurs propres notions, ce qui produit chez eux des Ă©motions nĂ©gatives cela se produit parce que les gens ont des tempĂ©raments corrompus. Ils disent des choses nĂ©gatives et pleines de ressentiment parce que leur foi est trop dĂ©risoire, leur stature est trop petite et ils comprennent trop peu de vĂ©ritĂ©s – ce qui est tout Ă  fait pardonnable, et Dieu n’en garde pas le souvenir. Et pourtant, il y a ceux qui ne suivent pas le bon chemin, qui suivent spĂ©cifiquement le chemin qui consiste Ă  tromper Dieu, Ă  Lui rĂ©sister, Ă  Le trahir et Ă  lutter contre Lui. Ces gens sont finalement punis et maudits par Dieu, et plongĂ©s dans la perdition et la destruction. Comment en arrivent-ils lĂ  ? C’est parce qu’ils n’ont jamais rĂ©flĂ©chi et ne se sont jamais connus eux-mĂȘmes, parce qu’ils n’acceptent pas du tout la vĂ©ritĂ©, sont imprudents et volontaires, refusent obstinĂ©ment de se repentir et se plaignent de Dieu aprĂšs avoir Ă©tĂ© exposĂ©s et rejetĂ©s, disant que Dieu n’est pas juste. Ces gens pourraient-ils ĂȘtre sauvĂ©s ? Non. Ils ne le pourraient pas. Alors, est-il vrai que tous ceux qui sont rejetĂ©s sont au-delĂ  du salut ? On ne peut pas dire qu’ils soient totalement irrĂ©cupĂ©rables. Il y a ceux qui comprennent trop peu de vĂ©ritĂ©s et qui sont jeunes et inexpĂ©rimentĂ©s, qui, une fois qu’ils sont devenus dirigeants ou ouvriers et ont un statut, sont dirigĂ©s par leur tempĂ©rament corrompu, recherchent un statut, jouissent de ce statut et suivent donc naturellement le chemin des antĂ©christs. Si, aprĂšs avoir Ă©tĂ© exposĂ©s et jugĂ©s, ils sont capables de rĂ©flĂ©chir sur eux-mĂȘmes et de se repentir vraiment, en abandonnant la mĂ©chancetĂ© comme les habitants de Ninive, en ne suivant plus le chemin du mal comme ils le faisaient auparavant, alors ils ont encore la possibilitĂ© d’ĂȘtre sauvĂ©s. Mais quelles sont les conditions d’une telle opportunitĂ© ? AprĂšs avoir Ă©tĂ© exposĂ©s et identifiĂ©s, ils se repentent vraiment, ils sont capables d’accepter la vĂ©ritĂ©, ce qui signifie qu’ils ont encore un peu d’espoir. S’ils sont incapables de rĂ©flĂ©chir sur eux-mĂȘmes et n’ont aucune intention de se repentir vĂ©ritablement, ils seront complĂštement rejetĂ©s » Il faut avoir un chemin de pratique spĂ©cifique pour corriger ses tempĂ©raments corrompus », dans Sermons de Christ des derniers jours. AprĂšs avoir lu ces paroles de Dieu, ma dirigeante m’a rappelĂ© Tu crois qu’en tant que dirigeant, on est facilement rĂ©vĂ©lĂ©, remplacĂ© ou chassĂ©. Ce point de vue est-il correct ? Que les gens soient finalement rĂ©vĂ©lĂ©s et chassĂ©s dĂ©pend du fait qu’ils recherchent la vĂ©ritĂ© ou non et du chemin qu’ils prennent. Le fait qu’ils soient dirigeants ou non ne change rien. Si quelqu’un ne recherche pas la vĂ©ritĂ© ou n’emprunte pas le bon chemin en tant que dirigeant, s’il fait le mal, perturbe le travail de la maison de Dieu et refuse de se repentir, il sera immanquablement rĂ©vĂ©lĂ© et chassĂ©. Mais quand certains, mĂȘme s’ils commettent des erreurs et des transgressions dans leurs devoirs, sont capables d’accepter la vĂ©ritĂ©, de rĂ©flĂ©chir sur eux-mĂȘmes et de se repentir vraiment, la maison de Dieu leur donne d’autres chances. S’ils ont un petit calibre et ne sont pas Ă  la hauteur d’un poste de dirigeant, ils seront transfĂ©rĂ©s Ă  un devoir qui leur convient, mais ils ne seront pas renvoyĂ©s ou chassĂ©s Ă  la lĂ©gĂšre. Parmi tous les dirigeants dans la maison de Dieu, pourquoi certains comprennent-ils de mieux en mieux la vĂ©ritĂ© et s’amĂ©liorent-ils dans leurs devoirs ? Pourquoi certains font-ils des choses mauvaises et sont-ils rĂ©vĂ©lĂ©s en tant que faux dirigeants et antĂ©christs, puis rejetĂ©s ? Leurs Ă©checs ont-ils le moindre rapport avec le fait d’ĂȘtre des dirigeants ? De plus, la maison de Dieu a rĂ©vĂ©lĂ© et rejetĂ© de nombreux malfaiteurs, qui n’étaient pas dirigeants pour la plupart. Ils ont Ă©tĂ© rejetĂ©s parce qu’ils haĂŻssaient la vĂ©ritĂ©, n’empruntaient pas le bon chemin, se dĂ©chaĂźnaient dans leurs devoir et causaient des dĂ©rangements et des perturbations. Cela a-t-il un rapport avec le fait d’ĂȘtre un dirigeant ? » J’ai Ă©tĂ© un peu Ă©branlĂ©e et j’ai rĂ©pondu C’est vrai, tous les dirigeants ne sont pas rĂ©vĂ©lĂ©s et rejetĂ©s dĂšs qu’ils ont un statut. Quand ça se produit, c’est parce qu’ils n’empruntent pas le bon chemin, ne recherchent pas la vĂ©ritĂ©, ne dĂ©sirent que les bĂ©nĂ©fices du statut, agissent arbitrairement, se dĂ©chaĂźnent et causent des dĂ©rangements et des perturbations. C’est ce qui fait d’eux des faux dirigeants et des antĂ©christs qui sont rĂ©vĂ©lĂ©s et rejetĂ©s. » J’ai pensĂ© Ă  FrĂšre Wu, qui avait Ă©tĂ© renvoyĂ© quelque temps plus tĂŽt. En tant que dirigeant, il Ă©tait toujours arrogant, il s’affichait, il rabaissait et ostracisait ses partenaires en permanence, ce qui les empĂȘchait d’accomplir leurs devoirs normalement parce qu’ils se sentaient Ă©touffĂ©s. Ses dirigeants avaient Ă©changĂ© avec lui de nombreuses fois, mais il n’avait jamais changĂ© et il n’avait Ă©tĂ© renvoyĂ© qu’aprĂšs ça. J’ai rĂ©flĂ©chi sur les annĂ©es oĂč j’avais Ă©tĂ© dirigeante. J’avais souvent agi arbitrairement. Quand mes frĂšres et sƓurs avaient dĂ©noncĂ© les deux dirigeants d’Église, je n’avais pas enquĂȘtĂ© et vĂ©rifiĂ© comme les principes l’exigent. À la place, j’avais condamnĂ© ces dirigeants, allant jusqu’à les renvoyer et les expulser. Le rĂ©sultat, c’était que j’avais fait du mal aux deux dirigeants et semĂ© le chaos dans l’Église. En y repensant, j’ai compris que tout ce que j’avais fait Ă©tait mal. Je gĂąchais le travail de la maison de Dieu et la chance d’ĂȘtre sauvĂ©s des autres. Heureusement, mes dĂ©cisions erronĂ©es et injustes avaient Ă©tĂ© dĂ©couvertes et annulĂ©es. Sans ça, les consĂ©quences auraient Ă©tĂ© terribles. J’ai compris que mon renvoi n’avait rien Ă  voir avec mon statut ni le fait que j’étais dirigeante. J’avais Ă©tĂ© renvoyĂ©e parce que mon tempĂ©rament Ă©tait trop arrogant, je ne cherchais pas la vĂ©ritĂ©, j’agissais arbitrairement, sans entrer dans le dĂ©tail, je perturbais le travail de l’Église, et je n’avais pas rĂ©flĂ©chi sur moi-mĂȘme et ne m’étais pas repentie quand j’avais Ă©tĂ© Ă©mondĂ©e et traitĂ©e. VoilĂ  pourquoi on m’avait renvoyĂ©e. C’était en accord avec les principes et c’était la justice de Dieu. NĂ©anmoins, je ne me connaissais pas et je vivais dans un Ă©tat d’incomprĂ©hension et de mĂ©fiance envers Dieu. Je pensais que j’avais Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©e parce que j’étais une dirigeante, que les exigences de la maison de Dieu Ă©taient trop grandes et que je n’avais Ă©tĂ© renvoyĂ©e que pour deux erreurs. C’était si absurde et dĂ©raisonnable ! C’est alors que j’ai compris que si je n’avais pas Ă©tĂ© renvoyĂ©e Ă  temps et arrĂȘtĂ©e dans mon Ă©lan, vu mon tempĂ©rament arrogant, j’aurais commis de bien plus grands mĂ©faits. Mon renvoi Ă©tait la protection de Dieu pour moi et une bonne occasion de rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme. J’ai songĂ© Ă  SƓur Wang, qui avait Ă©tĂ© ma partenaire. Elle avait Ă©tĂ© renvoyĂ©e mais, aprĂšs son Ă©chec, elle avait su rĂ©flĂ©chir sur elle-mĂȘme, en tirer une leçon et se repentir Ă  Dieu. Plus tard, quand elle Ă©tait redevenue dirigeante, elle avait pu chercher les principes de la vĂ©ritĂ© quand elle agissait et elle avait clairement progressĂ©. AprĂšs y avoir rĂ©flĂ©chi, j’ai compris que les gens n’étaient pas rejetĂ©s parce qu’ils avaient un statut. Ils se nuisent Ă  eux-mĂȘmes Ă  cause de leurs tempĂ©raments corrompus. Si nos tempĂ©raments corrompus ne sont pas rĂ©solus, mĂȘme si on n’est pas dirigeant et ne commet pas de mĂ©fait dans une position de dirigeant, on sera rejetĂ©s pour ne pas avoir recherchĂ© la vĂ©ritĂ©. Quand je l’ai compris, mon Ă©tat a commencĂ© Ă  changer, mais j’avais encore des inquiĂ©tudes. Je me disais Ma comprĂ©hension de la vĂ©ritĂ© est superficielle et les dirigeants doivent dĂ©cider de beaucoup de choses. Si je perturbe le travail de la maison de Dieu par des arrangements inappropriĂ©s, je risque de commettre des transgressions. Si je ne suis pas dirigeante et ne fais pas ce genre de travail, je ne commettrai pas de mĂ©faits et ne rĂ©sisterai pas Ă  Dieu Ă  cause de ça. Je crois toujours qu’il vaut mieux que je ne me prĂ©sente pas Ă  l’élection. » À ce moment-lĂ , j’ai lu un passage de la parole de Dieu Je ne veux voir personne se sentir comme si Dieu l’avait laissĂ© pour compte, l’avait abandonnĂ© ou lui avait tournĂ© le dos. Je voudrais seulement vous voir tous emprunter le chemin qui consiste Ă  poursuivre la vĂ©ritĂ© et chercher Ă  comprendre Dieu, allant hardiment de l’avant avec une volontĂ© sans faille, sans crainte, sans fardeau. Quels que soient les torts que tu as commis, peu importe Ă  quel point tu t’es Ă©garĂ© ou tu as mal agi, ne laisse pas cela devenir un fardeau ou un boulet que tu doives traĂźner dans ta quĂȘte de comprĂ©hension de Dieu. Poursuis ta marche en avant. Le salut de l’homme occupe toujours une place dans le cƓur de Dieu. Cela ne change jamais c’est la partie la plus prĂ©cieuse de Son essence » Dieu Lui-mĂȘme, l’Unique VI », dans La Parole apparaĂźt dans la chair. Cette parole de Dieu m’a profondĂ©ment Ă©mue. Dieu ne renonce pas Ă  sauver les gens Ă  cause d’échecs et de transgressions temporaires. À la place, Il leur donne des occasions de se repentir. Il ne faut pas avoir peur de commettre des erreurs et des transgressions dans son devoir. Tant que les gens peuvent changer, Dieu continuera Ă  les guider. Je me suis souvenue que Dieu ne m’avait pas abandonnĂ©e malgrĂ© mes transgressions. Il n’avait fait que me chĂątier et me discipliner, puis Il avait utilisĂ© des gens pour m’exposer et me traiter, me dĂ©mettre de mon rĂŽle de dirigeante et m’inciter Ă  rĂ©flĂ©chir sur moi-mĂȘme. Mais je vivais dans un Ă©tat d’incomprĂ©hension et de mĂ©fiance envers Dieu, ne voulant pas ĂȘtre une dirigeante ou une ouvriĂšre, alors Dieu avait utilisĂ© d’autres gens pour Ă©changer avec moi Ă  plusieurs reprises et Il avait attendu que je change. Depuis le dĂ©but, Dieu avait Ă©tĂ© patient et tolĂ©rant envers moi. Il m’avait donnĂ© du temps et des opportunitĂ©s dans l’espoir que j’accepterais la vĂ©ritĂ© et me repentirais. Contrairement Ă  ce que je croyais, Il ne m’avait pas condamnĂ©e et rejetĂ©e pour une seule transgression. Quand je l’ai compris, j’ai Ă©prouvĂ© du remords et de la culpabilitĂ©, alors j’ai priĂ© Dieu Ô Dieu ! Je suis trop rebelle. Je ne veux plus mal Te comprendre et me mĂ©fier de Toi. Je veux me repentir, maintenant. S’il Te plaĂźt, guide-moi pour que je change mon Ă©tat incorrect. » AprĂšs ça, je me suis demandĂ© pourquoi j’avais mal compris Dieu et m’étais mĂ©fiĂ©e de Lui. Quelle Ă©tait la racine du problĂšme ? À ce moment-lĂ , ma dirigeante m’a envoyĂ© un passage de la parole de Dieu qui m’a beaucoup aidĂ©e. Dieu Tout-Puissant dit Si tu es malhonnĂȘte, alors tu seras mĂ©fiant et suspicieux Ă  propos de tous les gens et de toutes choses, et ainsi ta foi en Moi sera bĂątie sur un fondement de suspicion. Je ne pourrais jamais reconnaĂźtre une telle foi. Manquant d’une foi sincĂšre, tu es encore plus dĂ©pourvu d’un amour rĂ©el. Et si tu es enclin Ă  douter de Dieu et Ă  t’interroger Ă  Son sujet quand bon te semble, alors, sans l’ombre d’un doute, tu es le plus malhonnĂȘte de tous les gens. Tu te demandes si Dieu peut ĂȘtre comme l’homme pĂ©cheur impardonnable, de caractĂšre mesquin, dĂ©nuĂ© d’équitĂ© et de raison, privĂ© du sens de la justice, livrĂ© Ă  des tactiques vicieuses, sournois et trompeur, ainsi que rĂ©joui par le mal et les tĂ©nĂšbres, etc. Si les gens ont de telles pensĂ©es, n’est-ce pas parce qu’ils manquent de la moindre connaissance de Dieu ? Une telle foi n’est rien d’autre que pĂ©cheresse ! » Comment connaĂźtre le Dieu sur terre », dans La Parole apparaĂźt dans la chair. Cette parole de Dieu m’a permis de comprendre que j’avais mal compris Dieu et m’étais mĂ©fiĂ©e de Lui parce que ma nature Ă©tait trop malhonnĂȘte. AprĂšs avoir Ă©tĂ© renvoyĂ©e, je n’avais pas rĂ©flĂ©chi au chemin qui m’avait menĂ©e Ă  l’échec et je n’en avais pas tirĂ© de leçon pour ne pas reproduire mes erreurs. Au contraire, je m’étais dit qu’on Ă©tait trop facilement rĂ©vĂ©lĂ© et rejetĂ© en tant que dirigeant. Je pensais que le titre de dirigeante » m’avait nui. J’avais mĂȘme imaginĂ© Dieu comme un monarque terrestre qui condamnait les gens Ă  mort quand ils faisaient quelque chose de mal, alors les Ă©lections me terrifiaient. Je craignais d’ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©e et de perdre ma fin en Ă©tant choisie comme dirigeante, alors j’étais toujours sur mes gardes et sur la dĂ©fensive en prĂ©sence de Dieu. L’exaltation de Dieu me semblait malveillante et je trouvais excuse aprĂšs excuse pour Ă©viter de me prĂ©senter aux Ă©lections. J’étais si malhonnĂȘte ! La maison de Dieu forme les dirigeants et les ouvriers pour leur donner l’occasion de pratiquer, afin qu’ils comprennent la vĂ©ritĂ© et assument le mandat de Dieu. Mais je pensais que Dieu avait l’intention de me rĂ©vĂ©ler et de me rejeter. Je comprenais mal Dieu et blasphĂ©mais contre Lui ! Je croyais en Dieu, mais je voyais toujours les choses du point de vue des injustes, je doutais et je me mĂ©fiais de Dieu. Par lĂ , j’exposais des tempĂ©raments mauvais et sataniques. Croire de cette maniĂšre n’était-il pas rĂ©sister Ă  Dieu ? Plus tard, aprĂšs avoir lu la parole de Dieu, j’ai mieux compris la volontĂ© de Dieu. La parole de Dieu dit Parfois, Dieu Se sert d’un certain sujet pour te mettre Ă  nu ou te discipliner. Est-ce que cela signifie que tu as Ă©tĂ© rejetĂ© ? Cela signifie-t-il que ta fin est venue ? Non. [
] En fait, dans bien des cas, les inquiĂ©tudes des gens sont liĂ©es Ă  leurs propres intĂ©rĂȘts. De façon gĂ©nĂ©rale, il s’agit de la crainte de n’avoir aucune fin. Ils se disent toujours “Et si Dieu me met Ă  nu, me chasse et me rejette ?” C’est ta mauvaise comprĂ©hension de Dieu ce ne sont que tes pensĂ©es. Il faut que tu dĂ©termines quelle est l’intention de Dieu. Quand Il met les gens Ă  nu, ce n’est pas fait pour les rejeter. Les gens sont mis Ă  nu pour exposer leurs dĂ©fauts, leurs erreurs et l’essence de leur nature, pour qu’ils se connaissent eux-mĂȘmes et soient capables d’une vraie repentance. De ce fait, si les gens sont mis Ă  nu, c’est pour que leur vie puisse grandir. Sans une comprĂ©hension pure, les gens sont susceptibles de mal interprĂ©ter Dieu et de devenir nĂ©gatifs et faibles. Ils peuvent mĂȘme cĂ©der au dĂ©sespoir. En fait, ĂȘtre mis Ă  nu par Dieu ne signifie pas nĂ©cessairement que les gens seront chassĂ©s. Il s’agit de te donner une connaissance et te faire te repentir. Souvent, parce que les gens sont rebelles et ne cherchent pas la vĂ©ritĂ© pour trouver une solution lorsqu’ils prĂ©sentent des manifestations de corruption, Dieu doit faire preuve de discipline. Et donc parfois, Il met les gens Ă  nu, exposant leur laideur et leur Ă©tat pitoyable et leur permettant de se connaĂźtre, ce qui permet que leur vie grandisse. Mettre les gens Ă  nu a deux implications diffĂ©rentes Concernant les mĂ©chants, ĂȘtre mis Ă  nu signifie qu’ils sont chassĂ©s. Concernant ceux qui sont capables d’accepter la vĂ©ritĂ©, c’est un rappel et un avertissement cela les amĂšne Ă  rĂ©flĂ©chir sur eux-mĂȘmes, Ă  voir leur vĂ©ritable Ă©tat et Ă  ne plus ĂȘtre capricieux et irrĂ©flĂ©chis, car continuer ainsi serait dangereux. Mettre ainsi les gens Ă  nu, c’est leur adresser un rappel afin que, lorsqu’ils accomplissent leur devoir, ils ne soient pas confus et nĂ©gligents, qu’ils ne soient pas blasĂ©s, qu’ils ne se contentent pas d’ĂȘtre seulement un peu efficaces, pensant avoir rempli leur devoir selon une norme acceptable, alors qu’en rĂ©alitĂ©, Ă  l’aune de ce que Dieu demande, ils sont loin d’ĂȘtre Ă  la hauteur mais sont toujours prĂ©tentieux et complaisants et pensent que tout va bien dans leur conduite. Dans de telles circonstances, Dieu disciplinera, mettra en garde et rappellera les gens. Parfois, Dieu met Ă  nu leur laideur, ce qui sert manifestement de rappel. Dans ces moments-lĂ , tu dois rĂ©flĂ©chir sur toi-mĂȘme accomplir ton devoir de cette maniĂšre est inadĂ©quat, il y a de la rĂ©bellion en jeu, il y a lĂ -dedans trop de choses nĂ©gatives, c’est tout Ă  fait superficiel et si tu ne te repens pas, tu seras puni. Lorsque Dieu te discipline, et te met Ă  nu, cela ne signifie pas nĂ©cessairement que tu seras chassĂ©. Cette question doit ĂȘtre abordĂ©e correctement » Ce n’est qu’en pratiquant les paroles de Dieu que l’on peut obtenir un changement de tempĂ©rament », dans Sermons de Christ des derniers jours. Quand j’ai lu ces paroles de Dieu, j’ai Ă©tĂ© trĂšs Ă©mue. Je me suis aussi sentie honteuse et coupable. Dieu rĂ©vĂšle les gens, les traite et les discipline pour qu’ils se connaissent, se repentent et changent. Dieu essayait sincĂšrement de me sauver, mais quand j’avais Ă©tĂ© confrontĂ©e Ă  l’émondage, au traitement et Ă  l’échec, je n’avais pas vu Ses bonnes intentions. Je m’étais agrippĂ©e obstinĂ©ment aux absurditĂ©s et aux mensonges de Satan comme Plus on s’élĂšve et plus dure sera la chute » et On est bien seul au sommet ». Je croyais qu’ĂȘtre un dirigeant dans la maison de Dieu Ă©tait comme ĂȘtre un responsable dans le monde et que plus ma position serait Ă©levĂ©e, plus je risquerais d’ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©e et rejetĂ©e. Pendant toutes ces annĂ©es, alors que je comprenais mal Dieu et me mĂ©fiais de Lui, mon cƓur est restĂ© fermĂ© Ă  Dieu. J’ai rĂ©pĂ©titivement refusĂ© le mandat et les environnements de Dieu, Ă©vitĂ© les Ă©lections, je suis restĂ©e extrĂȘmement prudente et inquiĂšte dans mon devoir, alors je ne pouvais pas me consacrer entiĂšrement Ă  Dieu et Lui donner mon cƓur, et j’avais toujours une attitude tiĂšde envers la vĂ©ritĂ©, comme un non-croyant. J’étais prise dans le piĂšge de Satan, blessĂ©e par Satan, et je ne voyais mĂȘme pas Ă  quel point ça nuisait Ă  ma vie. À prĂ©sent, j’étais au bord du gouffre, alors je ne pouvais plus mal comprendre Dieu et Lui faire du mal. J’ai priĂ© Dieu en silence Ô Dieu, je veux me repentir Ă  Toi et traiter correctement les Ă©lections. Que je sois choisie ou non, je me soumettrai Ă  Tes arrangements. » Quand le moment des Ă©lections est venu, j’étais encore partagĂ©e. J’ai pensĂ© S’ils me choisissent vraiment, je devrai l’accepter et obĂ©ir mais, comme on dit, “Il faut un marteau puissant pour forger le fer”. Comme mon calibre et mes compĂ©tences sont limitĂ©s, il vaudrait mieux que quelqu’un d’autre soit Ă©lu. Comme ça, je ne serai pas rĂ©vĂ©lĂ©e une nouvelle fois. » Dans mon dilemme, j’ai subitement pensĂ© Ă  une parole de Dieu Lorsque les Ă©lus de Dieu accomplissent leur devoir dans le royaume et que les crĂ©atures de Dieu accomplissent leur devoir devant le CrĂ©ateur, ils doivent avoir un cƓur qui craint Dieu et procĂ©der calmement, et ne doivent pas ĂȘtre lĂąches, timides ni craintifs est-il honteux de faire son devoir ? » La Parole apparaĂźt dans la chair, vol. 2, Sermons de Christ des derniers jours. Cette parole de Dieu m’a rĂ©veillĂ©e sur-le-champ. Oui, au moment critique, je voulais battre en retraite et fuir. Je m’étais toujours inquiĂ©tĂ©e Ă  propos des Ă©lections. OĂč Ă©taient mon courage et ma dignitĂ© ? J’étais aussi lĂąche et timide que Dieu le disait ! Il est juste et convenable qu’un ĂȘtre créé accomplisse son devoir, c’est honorable. Mais je me dĂ©filais et me cachais dans une lĂąchetĂ© honteuse. C’était si stupide et pathĂ©tique ! Je devais me tourner vers Dieu, ĂȘtre une personne simple et honnĂȘte, arrĂȘter de m’inquiĂ©ter pour ma fin et ma destination et donner mon cƓur Ă  Dieu. Que je sois Ă©lue ou non, je devais avoir une attitude d’obĂ©issance envers Dieu et, si j’étais choisie, je devais l’accepter, obĂ©ir et bien accomplir mon devoir. Quand j’ai franchi cette ligne dans ma tĂȘte, j’ai eu l’impression que mon cƓur Ă©tait dĂ©livrĂ© d’un grand poids et j’ai Ă©tĂ© submergĂ©e par le soulagement. Quand les rĂ©sultats sont tombĂ©s, j’ai Ă©tĂ© Ă©lue avec une autre sƓur. Cette fois, je n’étais plus sur la dĂ©fensive, dans l’incomprĂ©hension, et je n’ai plus craint d’ĂȘtre rejetĂ©e si je n’accomplissais pas bien mon devoir. À la place, j’ai voulu chĂ©rir cette opportunitĂ© et accomplir mon devoir du mieux possible pour compenser mes transgressions passĂ©es. Plus tard, j’ai lu un autre passage de la parole de Dieu Avez-vous peur de suivre le chemin des antĂ©christs ? Oui. La peur est-elle utile en soi ? Non, la peur seule ne peut pas rĂ©soudre le problĂšme. Il est normal d’avoir peur. Avoir peur dans l’ñme montre que l’on est un amoureux de la vĂ©ritĂ©, qu’on est quelqu’un qui est prĂȘt Ă  s’efforcer d’aller vers la vĂ©ritĂ© et qui est prĂȘt Ă  la poursuivre. Si vous avez peur dans l’ñme, alors vous devriez rechercher la vĂ©ritĂ© et trouver le chemin de pratique. Vous devez commencer par apprendre Ă  coopĂ©rer avec les autres en harmonie. S’il y a un problĂšme, rĂ©solvez-le par l’échange et la discussion, afin que chacun puisse connaĂźtre les principes ainsi que le raisonnement et le programme spĂ©cifiques concernant la rĂ©solution. Cela ne t’évite-t-il pas de prendre des mesures dictatoriales unilatĂ©rales ? De plus, tu dois apprendre Ă  laisser le groupe te superviser et t’aider. Cela demande de la tolĂ©rance et de l’ouverture d’esprit. [
] Il est certes nĂ©cessaire d’accepter une supervision, mais l’essentiel est de prier Dieu et de s’appuyer sur Lui, en se soumettant Ă  une rĂ©flexion constante. Surtout lorsque tu as fait fausse route ou que tu as fait quelque chose de mal, ou lorsque tu es sur le point de prendre une mesure dictatoriale et unilatĂ©rale et que quelqu’un Ă  proximitĂ© le mentionne et t’alerte, tu dois accepter cela et te hĂąter de rĂ©flĂ©chir sur toi-mĂȘme, et admettre ton erreur, et la corriger. Cela peut t’éviter d’emprunter le chemin des antĂ©christs. Si quelqu’un t’aide et t’alerte de cette façon, n’es-tu pas prĂ©servĂ© sans le savoir ? Tu l’es c’est ta prĂ©servation » Le bon accomplissement de son devoir requiert une coopĂ©ration harmonieuse », dans Sermons de Christ des derniers jours. Cette parole de Dieu indique le principe de pratique pour Ă©viter de prendre le mauvais chemin, qui est de chercher la vĂ©ritĂ© quoi qu’il arrive, de discuter des choses avec les frĂšres et sƓurs, de coopĂ©rer harmonieusement, d’accomplir notre devoir selon les principes de la vĂ©ritĂ©, de ne pas agir arbitrairement par tempĂ©rament arrogant, de ne pas exiger d’avoir le dernier mot et d’accepter la supervision de nos frĂšres et sƓurs dans nos devoirs. Si on Ă©choue Ă  accomplir notre devoir parce qu’on craint de prendre le chemin des antĂ©christs et d’ĂȘtre rĂ©vĂ©lĂ©s, on ne rĂ©soudra pas de problĂšmes et on gĂąchera notre chance de gagner la vĂ©ritĂ© et d’ĂȘtre sauvĂ©s. C’est comme s’affamer par peur de s’étouffer. Plus tard, j’ai tirĂ© les leçons de mes Ă©checs prĂ©cĂ©dents et j’ai eu une attitude bien plus correcte dans mon devoir. J’ai consciemment discutĂ© des choses avec les autres et j’ai Ă©tĂ© capable de bien travailler avec eux. On a cherchĂ© les principes de la vĂ©ritĂ© ensemble. AprĂšs quelque temps, j’ai vu la direction de Dieu et mes devoir ont produit des rĂ©sultats. GrĂące Ă  cette expĂ©rience, j’ai vu que Dieu ne m’avait pas rejetĂ©e Ă  cause de mes transgressions et qu’Il ne m’avait pas abandonnĂ©e parce que je me mĂ©fiais de Lui. À la place, Il a arrangĂ© des gens, des problĂšmes et des choses afin de m’inciter Ă  venir devant Lui pour rĂ©flĂ©chir sur mon tempĂ©rament corrompu, de maniĂšre Ă  ce que je comprenne Sa volontĂ©, que j’arrĂȘte de mal Le comprendre et que j’accomplisse mon devoir avec contentement. Dieu soit louĂ© ! Contrairesde rĂ©flĂ©chir : faire preuve de rĂ©flexion. RĂ©flĂ©chir, c’est penser et prendre son temps afin d’agir de maniĂšre intelligente. À l’inverse, pour dĂ©crire l’action d’agir sans rĂ©flĂ©chir, on dit aller trop vite, se prĂ©cipiter, foncer tĂȘte baissĂ©e. De quelqu’un qui n’a pas rĂ©flĂ©chi, on dit Ce sujet contiendra les solutions du jeu Esprit Boom niveau 1206 Qu’est ce qui rĂ©flĂ©chit sans rĂ©flĂ©chir. Pour rappel, le jeu Esprit Boom français propose dans chaque niveau une mot Ă  mot est la solution d’une devinette. Trouver des mots bonus vous fera gagner des piĂšces. Si vous en avez trouvĂ© alors n’hĂ©sitez pas Ă  les partager avec le reste des joueurs en commentaire. Sans tarder, voici les rĂ©ponses Ă  ce niveau Vous pouvez aussi consulter le reste des niveaux sur ce sujet Solution Esprit Boom UN MIROIR La devinette Qu’est ce qui rĂ©flĂ©chit sans rĂ©flĂ©chir Ă©tant rĂ©solue, je vous invite Ă  trouver dans le prochain sujet la suite du jeu On y entre par un trou et on en sort par deux. – Esprit Boom niveau 1207. N’hĂ©sitez donc pas Ă  y jeter un coup d’Ɠil si jamais vous aurez des soucis pour trouver les mots qui vous manqueraient. A bientĂŽt Kassidi Amateur des jeux d'escape, d'Ă©nigmes et de quizz. J'ai créé ce site pour y mettre les solutions des jeux que j'ai essayĂ©s. This div height required for enabling the sticky sidebar hxy20vr. 242 170 193 354 100 129 379 191 118

qu est ce qui reflechi sans reflechir