Malestroit La sécurité, c’est l’affaire de tous. A Malestroit (Morbihan), en ce début de saison estivale 2022, gendarmerie et police Publié le 03/11/2017 à 1006, Mis à jour le 03/11/2017 à 1102 Après la tour Eiffel avant hier, le premier ministre Édouard Philippe s'est rendu à la gare du Nord à Paris aujourd'hui pour rassurer les Français deux jours après que la loi antiterroriste a remplacé l'état d'urgence et rappeler que "la sécurité est l'affaire de tous"."Nous savons parfaitement que le niveau de menace reste élevé", a déclaré Édouard Philippe entouré, du ministre de l'Intérieur Gérard Collomb et de la ministre des Transports Élisabeth Borne. "La sécurité c'est l'affaire de tous, ça n'est pas uniquement l'affaire des forces de l'ordre", a-t-il rappelé après avoir rencontré les policiers, gendarmes, agents de la sûreté de la SNCF et de la RATP."Les défis sont immenses mais le gouvernement, les forces de l'ordre, l'ensemble des opérateurs sont extrêmement mobilisés pour mettre des moyens humains supplémentaires, vérifier que le cadre juridique de notre action nous permet d'apporter des réponses claires et efficaces et c'est notamment le cas depuis l'adoption de la loi antiterroriste", a-t-il dit."Et puis au-delà des moyens humains et juridiques, et au delà même des moyens matériels, je redis l'attention que nous devons tous avoir, cette vigilance collective et pas simplement la vigilance des forces de l'ordre, car ils ne pourront répondre au défi immense du terrorisme que par une attention permanente et collective de l'ensemble des citoyens", a assuré le Premier ministre.» Lire aussi - À la Tour Eiffel, Édouard Philippe défend la sortie de l'état d'urgence Lasécurité routière, c'est l'affaire de tous 18/03/2022 de 13:30 à 15:30 (Europe/Brussels / UTC100) L'inspecteur Bertrand Caroy, responsable du service Circulation routière de la Zone de Police Boraine, reviendra sur l'importance des bons gestes à adopter au volant lors d'une conférence consacrée à la sécurité routière.
Publié le 09/10/2009 à 0350 Les journées de la sécurité intérieure se dérouleront à Albi demain samedi 10 octobre. De nombreuses animations seront proposées au public, de 9h30 à 17 heures, sur la place du Vigan et sur les allées du Jardin national. Cette année, le thème de cette manifestation - qu'inaugurera la préfète du Tarn Marcelle Pierrot à 10h30 - est la sécurité, une responsabilité partagée». Cette journée sera l'occasion de présenter au public les missions, les métiers et les moyens du ministère de l'Intérieur, de l'Outre-Mer et des Collectivités territoriales, dans le domaine de la sécurité. Les partenaires de la sécurité civile seront également associés à la manifestation. Pour illustrer l'unité et la complémentarité des actions menées par les services intervenant dans le domaine de la sécurité publique et civile, des animations et des ateliers seront proposés par les services de police, de gendarmerie et les différents acteurs de la sécurité civile dans le département SDIS, associations de secourisme. Nous détaillons le programme ci-dessous.
Cybercriminalité la sécurité informatique est l'affaire de tous. Auteur (s) La rédaction de AFP. Publié le 03 octobre 2016 - 16:59. Les spécialistes de la cybercriminalité se réunissent cette semaine à Monaco avec pour ambition d'étendre à l'ensemble de la population les comportements et réflexes qui permettront

La sécurité, c`est l`affaire de tous n°21 PAGES SPÉCIALES Congrès Nantes 2012 ........................................... 7 > 11 Nouveau bureau exécutif ........................................................... 4 Infos congrès Beaune et régions ............................................. 5 PARTENARIATS AVEC L’ASTEE et L’AFE . ................................... 12 > 14 COLLOQUE AMF-ATTF NANTES 2012 Prévention des risques professionnels Les échanges ont été animés par Bruno LEPRAT, journaliste, et placés sous la présidence de Jacques PELISSARD président de l’Association des Maires de France excusé et représenté par Yves METAIREAU qui souligne l’intérêt du partenariat. Ce colloque a été l’occasion de nombreux et enrichissants échanges constructifs entre participants et intervenants. Ils ont, tant pour les élus que pour les techniciens contribué à la qualité de la séance. En ouverture Dominique MICHEL et Yves METAIREAU remercient les participants et mettent en exergue la nécessaire complémentarité entre les techniciens et les élus pour ce véritable enjeu que représente la mise en place d’une politique d’hygiène et de sécurité. Partenariats Colloque Nantes 2012 Retour sur le 44è congrès Infos congrès Bureau exécutif Édito Dominique MICHEL souligne que le couple technicien / élu doit permettre d’améliorer les situations. Ce colloque prolongeant les actions communes - se propose de faire le point sur les connaissances indispensables, les pistes d’actions envisageables et de prendre en compte l’expérience acquise, tant par les élus que par les techniciens - souvent agents de prévention et interfaces au quotidien entre les uns et les autres - les contraintes règlementaires mais aussi morales» et développer ainsi une ambiance porteuse de synergie de progrès dans nos collectivités. Collectivités responsabilité exposée ? Bruno Leprat Yves Métaireau Trois sortes de prévention Yves Métaireau, maire de La Baule, décrit les types de prévention recensés par l’organisation mondiale de la santé OMS > la prévention dite primaire», qui comprend tous les actes destinés à réduire les risques avant apparition et avant constat d’éventuelles conséquences. Cette prévention a pour but d’éliminer les risques à la source». > la prévention secondaire» qui, elle, comprend les actes destinés au dépistage des maladies en lien avec le travail, de préférence avant qu’elles ne se déclarent. Cette prévention veut aider les agents à faire face à l’exposition aux risques. Par exemple à La Baule, dans le cadre de notre réflexion sur le bien être et pour lutter contre les RPS en particulier, une assistance téléphonique psychologique» a été ouverte 24 h/24 pour écouter les agents sur le plan professionnel ou personnel». > la prévention tertiaire», enfin, qui comprend tous les actes destinés à limiter les effets des maladies professionnelles installées, à prévenir les rechutes» et à favoriser la réinsertion des salariés. Ce type de prévention est curatif, indique Yves Métaireau. Elle doit réduire et compenser les troubles dus à des risques que l’on n’a pas su ou pu éviter». Premier à ouvrir la réflexion, Luc Brunet, juriste à l’Observatoire SMACL des risques territoriaux, a indiqué que si la sécurité devait être considérée comme une priorité» dans les collectivités, leurs élus et managers devraient accepter qu’elle ait un coût formation des agents, matériel aux normes, organisation optimale du travail,etc». Il a ensuite signalé que la sécurité devait primer sur toute considération y compris les exigences de service public». À l’appui de son propos, une décision de tribunal correctionnel du 17 janvier 2004, jugeant que le principe de continuité de service public, mis en avant par une collectivité pour se défendre après la mort d’un de ses rippeurs lors d’une manœuvre de camion dans une impasse, n’implique pas que le service de ramassage soit assuré à la porte de chaque habitation et n’interdit pas que des regroupements soient aménagés». Après l’accident, a commenté Luc Brunet, la collectivité a ainsi décidé de ne plus desservir l’impasse et imposé aux usagers un point de ramassage au début de la rue». Enfin le juriste a recommandé aux collectivités, afin de ne pas voir leur responsabilité exposée, d’être intransigeantes» sur le respect des consignes de sécurité. L’employeur est tenu à une obligation de résultat. C’est dire qu’il doit fournir aux agents un matériel adapté et diffuser les consignes mais aussi s’assurer de leur effectivité». Et d’ajouter Si un agent ne met pas les équipements de sécurité à disposition, il doit être sanctionné. En cas d’accident, la collectivité pourra se retourner contre lui». Il conclut avec une recommandation préciser aux agents le Qui fait quoi» et le Qui est responsable de quoi». Cela nécessite de rédiger les procédures - et sortir de la culture de l’oral». Cela signifie aussi que la dimension sécurité» doit être intégrée dans les fiches de poste pour responsabiliser les acteurs». 8 Lettre T - numéro 21 - janv. fév. mars 2013 L’ATTF adresse ses remerciements à tous ceux qui ont permis la réussite de ces journées, et en particulier aux animateurs et intervenants. Dominique MICHEL et Jean Paul TRUFFY les intervenants Dominique MICHEL Président de l’ATTF Yves METAIREAU Président de l’association des maires 44, maire de LA BAULE Luc BRUNETSMACL-Assurances Xavier SEGUETTECentre de gestion 44 Johan LEONIDEGroupama Gisèle GOYAC Maire adjointe VERTOU Laurent BERNARD Agent de prévention VERTOU Propos recueillis par Bruno Leprat La sécurité, c’est l’affaire de tous !» Luc Brunet Édito Bureau exécutif Infos congrès Retour sur le 44è congrès Colloque Nantes 2012 Partenariats Xavier Seguette Technicien préventeur au CDG 44, Xavier Seguette a quant à lui, indiqué que la prise de conscience est l’étape qui déclenche actions et formations». Et d’expliquer ce paradoxe un accident grave est souvent déclencheur d’actions, or les collectivités sont sensées intervenir en amont pour que l’accident n’arrive pas, et c’est souvent parce qu’il est arrivé que l’on nous demande d’intervenir». Le préventeur suggère que cette prise de conscience soit collective». La sécurité est l’affaire de tous !» sachant que du salarié à l’élu, chaque strate est impliquée, l’autorité territoriale disposant en outre, de ressources ayant une mission spécifique assistants et conseillers de prévention, agents chargés de missions d’inspection, membres du CT/CHSCT, médecin - et à l’extérieur, du CDG bien sûr». Comment articuler ces compétences ? Xavier Seguette propose que l’autorité territoriale impulse et affiche clairement» sa volonté - cela sera plus efficace que le discours d’un agent qui se débat pour sensibiliser ses collègues» - et qu’une structure soit dédiée, outillée du document unique pierre angulaire de toute démarche», afin que la prévention reste un domaine dynamique parcouru de démarches et de projets». Le représentant du CDG, enfin, a décrit les effets d’un accident Tout le monde est perdant. La victime, qui souffre de douleurs, d’un trauma psychologique ou de handicaps de la vie courante ; les collègues, qui sont désorientés par l’événement, et lors de l’absence de l’agent, doivent faire son travail, ou accueillir un remplaçant ; la collectivité, qui est confrontée à des réorganisations dans un contexte tendu, au coût de l’affaire, voire à des suites juridiques, des frais d’avocat, une médiatisation négative, etc». Johan Léonide Pragmatique, Xavier Seguette conclut en précisant que si la prévention est urgente» à diffuser plus amplement dans la FPT, elle prend du temps pour que les agents comprennent l’intérêt d’appliquer ces démarches. Il faut donc ne pas être trop ambitieux, et y aller pas à pas» les agents y adhéreront d’autant plus facilement». Le document unique outil clé» de la prévention Johan Léonide, ingénieur prévention chez Groupama, a souligné, lors d’un point sur le document unique que c’est l’ outil clé» de la prévention, la criticité du sujet. Aujourd’hui, au regard du contexte, réglementaire d’une part, économique et social réduction des coûts et des effectifs dans la FPT, vieillissement des agents, etc. d’autre part, les questions de santé et sécurité au travail deviennent un sujet d’actualité ; je les décris même comme primordiales, tant en matière de préservation des ressources humaines» que comme levier d’amélioration des conditions de travail». Pourtant les collectivités peinent à se lancer dans des démarches construites et suivies. Johan Léonide estime nécessaire d’expliquer aux élus qu’ils ne sont pas seuls. Une démarche demande des initiateurs, du temps et des compétences. Mais les collectivités ont des alliés ! Elles sont entourées d’acteurs qui peuvent les aider et accompagner les CDG, le CNFPT, le Fond national de Prévention, mais aussi les assureurs ou des prestataires spécialisés ergonomes, consultants en management, psychologues du travail et experts des RPS, etc. Ces profils doivent être bien choisis. Un préventeur interne est un catalyseur» et son implication doit être forte pour faire passer les messages». Il préfère toutefois élargir son propos Un autre facteur est capital à mes yeux c’est l’implication. Elle est indispensable, du niveau le plus haut de l’autorité territoriale pour ancrer» les actions dans les objectifs de la collectivité aux agents qui vivent les risques au quotidien, et sont les mieux positionnés pour donner le point de vue opérationnel». Johan Léonide pointe pour finir l’importance des régulateurs d’une démarche préventive au sein des collectivités les ACMO, devenus assistants et conseillers de prévention» par un décret de février 2012. 9 Lettre T - numéro 21 - janv. fév. mars 2013 prévention des risques professionnels Expérience/Témoignage collectivité La ville de Vertou [22 000 habitants] se situe à quelques km de Nantes au sud ouest de l’agglomération et emploie 300 employés environ Parole d’élue > Gisèle Goyac Partenariats Colloque Nantes 2012 Retour sur le 44è congrès Infos congrès Bureau exécutif Édito Il s’agit d’un enjeu humain» Pourquoi défendre en interne ces postes d’assistants de prévention ex-ACMO, à l’heure où chaque collectivité s’interroge sur le meilleur emploi possible de ses ressources humaines ? Mais c’est la loi - et une bonne loi ! Depuis 2004, Vertou a deux agents assistants de prévention, et leur rôle est essentiel ; il est celui d’être à l’interface entre tous les rouages de la collectivité les élus, la direction générale, les encadrants, le service des ressources humaines et les agents. Ils sensibilisent à la problématique de la sécurité, donc à celle de la santé. J’apprécie leur vigilance pour explorer les causes des accidents, afin qu’ils ne se renouvellent pas, et en anticiper d’autres. De cette vigilance et de leurs analyses dépen- dent des aménagements de postes, des achats d’équipements ou la remise en cause de notre organisation auxquels je consens très volontiers. Quel message êtes-vous venue passer» aux techniciens territoriaux et à vos collègues élus présents à Nantes ? Je voulais témoigner de l’importance de ces questions de sécurité, afin qu’elles entrent ou perdurent dans les préoccupations des employeurs publics territoriaux. Il s’agit d’un enjeu humain, afin de prévenir les risques de tous genres, comportementaux et psycho-sociaux en particulier qui sont un genre croissant. Mais cette préoccupation sécuritaire» comporte aussi un enjeu financier. Moins d’accidents, cela se traduit sur l’absentéisme, donc sur l’efficience de notre collectivité - et en cela, cette préoccupation interne rejoint la gestion intelligente des fonds publics que nous devons à nos concitoyens. De quelle action passée ou de quel chantier en cours êtes-vous la plus fière ? Je ne veux pas isoler une action, car c’est la dynamique d’ensemble qui doit être soutenue, sa cohérence mais aussi les résultats qu’elle engendre forcément. Le travail est partenarial le Centre de gestion, la médecine du travail, tous les services ont contribué à la mise en place de notre document unique. Ce document est une étape clé dans l’appropriation d’une démarche par chaque agent, chaque chef de service. La sécurité est une chaîne, et tous les agents la composent. Le document unique invite à l’analyse des risques, à des actions correctives mais aussi à une prise de conscience que la santé au travail est un droit, et que la garantir appartient à une politique durable des ressources humaines. riches échanges entre intervenants et participants 10 Lettre T - numéro 21 - janv. fév. mars 2013 COLLOQUE AMF-ATTF NANTES 2012 Parole d’ACMO Bien connaître les métiers de la collectivité Laurent Bernard est assistant de prévention ex-ACMO à Vertou. Nommé en 2004, il est en charge par ailleurs de la location des salles de la commune. Il témoigne de sa fonction Comment aurait-on pu l’éviter ? Telle est la question qu’un assistant de prévention AP, lorsqu’un accident survient, se pose et se re-pose». Laurent Bernard Gisèle Goyac Édito Bureau exécutif Infos congrès Retour sur le 44è congrès Colloque Nantes 2012 Partenariats C’est une fonction sensible que celle d’AP, très suivie - en principe - par les élus et les managers, également proche des agents. Il faut être volontaire, et je vois des collègues qui ont été nommés contre leur gré. Rien ne suivra la loi est respectée, mais sur le papier ! Cest aussi une fonction exigeante, qui demande de connaître les procédures et les métiers. De savoir écrire des synthèses et argumenter. D’être curieux. Et de susciter la confiance des agents. Car ils vont beaucoup nous voir, et parfois, nous troublerons leurs habitudes. Des fiches et des stages Si des élus ne sont pas convaincus de la nécessité d’une prévention, ils bloqueront toute décision équiper tels agents, modifier telle organisation, etc. Ce qui les sensibilise ? La peur d’être pris pour responsable d’un accident, bien sûr. Mais je crois plus à l’argument du bien-être des agents en sécurité, travaillent mieux et partent moins en congés maladie. C’est aussi un argument pour des élus employeurs. en tribune Je ne suis pas pour autant l’encyclopédie» de l’hygiène et la sécurité. Nous avons des stages, des fiches adressées par le CDG. Exemples de thèmes les nuisances sonores, travailler en hauteur ou élaguer en toute sécurité. À moi ensuite, de voir dans les services où réside le risque, et d’amener les agents à procéder autrement. Ce ne sont pas forcément des dépenses matérielles. Réorganiser une tournée de ramassage de poubelles ne coûte rien». en salle Pour en savoir plus... 11 Lettre T - numéro 21 - janv. fév. mars 2013

Lasécurité, c`est l`affaire de tous. doc zz. Entrer ; Enregistrement ; Explorer . ×. La sécurité, c`est l`affaire de tous
Publié le 12/03/2003 à 0000 La sécurité c'est l'affaire de tous »... La direction départementale de la sécurité publique DDSP de Tarn-et-Garonne martelle actuellement ce slogan et tente d'en convaincre les jeunes en menant des actions de sensibilisation auprès des établissements scolaires tarn-et-garonnais. Lundi, les policiers étaient au lycée Montauriol. En avril, ils seront au lycée agricole de Capou... etc. Sécurité? Insécurité? Les policiers ont choisi de traiter plusieurs thèmes au contact des élèves les incivilités, les violences scolaires, familiales, urbaines, racket..., l'alcool et les produits stupéfiants, le civisme, le respect de soi et des autres, le rappel à la loi, le rôle et les missions des policiers. Depuis le début de cette année, les fonctionnaires de la DDSP ont décidé de privilégier le thème de la sécurité routière, sous l'angle de la consommation d'alcool et de l'usage des stupéfiants. A l'appui de leur action, les policiers soulignent que 26 % des accidents corporels concernent la tranche d'âge des 15/24 ans, et que la vitesse et le défaut de maîtrise, mais aussi le refus de priorité... et l'alcool, apparaissent comme les facteurs aggravant de cette accidentologie. Un message d'autant plus pertinent à délivrer aux jeunes tarn-et-garonnais que ce département pointe en sixième position sur les 95 départements français au niveau de la dangerosité de ses routes. ALCOOL, STUPEFIANTS Les élèves montalbanais ont reçu ou recevront au cours des prochaines semaines, un policier animateur et formateur anti-drogue. De la même manière ces élèves devraient se voir proposer une animation avec le simulateur de conduite de la DDE. Dans tous les cas, ces visites des forces de l'ordre dans les collèges et lycées de Montauban permettent de rappeler quelques constantes au service de la sécurité port de la ceinture à l'avant comme à l'arrière, port du casque sur les deux-roues, rappel des taux d'alcoolémie légaux, effets de l'alcool sur l'organisme, comportements liés à l'alcool... Au chapitre stupéfiants, sont passés en revue les grandes familles de produits et les effets qu'ils induisent, leur répercussion sur la santé mentale et physique du sujet, la vente et la consommation des produits stupéfiants... Autant d'éléments portés à la connaissance de ce jeune public qui, une fois informé, peut être en mesure de se prémunir... C'est là toute la philosophie de cette action lancée dans le département il y a deux ans. exemplaires et des tas de bons conseils La sécurité c'est l'affaire de tous » est aussi le titre d'un recueil diffusé à exemplaires auprès des établissements scolaires, des CCAS et de la fédération des aînés ruraux, de la CCI 1... Ce livret balaye une multitude d'aspects Les violences familiales et conjugales », qu'elles soient verbales, psychologiques, physiques, sexuelles, ainsi que les violences faites aux enfants, avec à la clé des numéros utiles... Le harcèlement ou le viol » avec là aussi des infos pour les victimes y compris mineures sur la conduite à tenir, étant entendu que sur ce type de faits, les mentalités ont évolué, au sein de la police qui prend mieux en compte la détresse des victimes, et de la part des victimes elles mêmes qui osent de plus en plus souvent, rompre le silence... Sécurité en milieu scolaire » avec quelques conseils de bon sens pour limiter les risques de vols et d'agressions et la conduite à tenir en tant que victime, ou en tant que témoins de faits graves qu'il convient de signaler... Personnes âgées, prévention et attention » avec dans ce chapitre, les précieux conseils de prudence visant à déjouer la ruse des voleurs à domicile, mais aussi l'action des malfaiteurs dans la rue, les personnes âgées étant fréquemment victimes de vols à l'arraché... Ce recueil aborde aussi la sécurité routière » avec un rappel du triste palmarès du Tarn-et-Garonne, 6e département français sur 95 en matière de dangerosité des routes, l'alcool » et la drogue » avec un rappel des numéros utiles offrant une prise en charge de la prévention et des soins... Il offre également de précieuses informations sur le cheminement d'une plainte... ______ 1Ce recueil très utile est également disponible à l'accueil des services de police et de gendarmerie de Montauban. Enréalité, la sécurité est l’affaire de tous : chacun est responsable de sa sécurité et de celle des autres. Détaillons. Quelques chiffres. En 2014, 540 salariés ont perdu la vie au travail. Les CPAM ont enregistré 570 000 accidents du travail ayant entraîné un arrêt de travail de quatre jours et plus. "La sécurité n'est pas une compétence de la Région, mais la région peut co-produire de la sécurité", estime ce lundi matin Cyril Hemardinquer, têter de liste du Rassemblement National dans le Loiret aux élections régionales et par ailleurs candidat aux élections départementales sur le canton de Courtenay. Le syndicaliste policier, en poste dans les Yvelines, en fait son axe de campagne. Il était l'invité de France Bleu Orléans. Les élections départementales tout d'abord zéro élu pour le Rassemblement National en 2015. Vous pensez réussir à faire mieux cette fois ci? En tout cas, je l'espère. J'ai grand espoir de faire mieux. Le climat politique nous est quand même assez favorable. Il faut savoir qu'on avait des cantons qui avaient dépassé la barre des 40% en 2015. J'espère qu'avec l'évolution politique actuelle, la dictature d'En Marche, le "ni gauche ni droite" de nos partis centristes et l'ensemble de l'échiquier politique, nous devrions arriver à réveiller les Français et à les amener à réaliser que le Rassemblement National est la meilleure option pour eux, sur tous les scrutins. Une dictature d'En Marche qui vous permet tout de même d'être candidat à ces élections. Vous êtes d'ailleurs candidat sur le canton de Courtenay, l'un des cantons où le Rassemblement National a fait le plus gros score en 2015. Vous vous dites, "je ne prends pas de risque" ? Non du tout. Déjà, rien n'est acquis en politique. On ne peut pas aller sur un canton et se dire qu'on ne prend pas de risque. Prendre Courtenay, même pour moi est un gros risque puisque c'est le canton qui avait fait le meilleur résultat la dernière fois, et si je ne le fais pas basculer ce coup-ci, ce sera un échec qu'il faudra que j'assume personnellement. Cela veut dire quoi ? Si vous n'êtes pas élu Courtenay, vous quittez la tête du Rassemblement National dans le Loiret ? Non, absolument pas. Le Loiret ne se résume pas au canton de Courtenay. C'est juste que j'ai un engagement vis-à-vis de mes militants. J'ai un engagement vis-à-vis de mes sympatisants et de tous les Français qui votent Rassemblement National et donc je dois atteindre mes objectifs. Pour moi, l'échec n'est pas d'une option. Si jamais j'ai, j'étais en échec, bien évidemment, il faudra rebondir pour continuer à aller de l'avant avant. Nous avons l'élection présidentielle en 2022, c'est quand même une étape décisive pour le pays et nous oeuvrerons en ce sens par la suite. Le Rassemblement national a du mal à fidéliser dans le Loiret. Sur les 42 candidats présentés pour les départementales, seuls quatre étaient déjà présents en 2015. Ça vient d'où ? C'est un problème d'image, de réussir à tenir dans le temps? Non, du tout, c'est un problème de turn-over des personnes. Dans un de vos articles, là, il était écrit que j'avais réussi à boucler tous les cantons, non sans mal. C'est tout à fait faux. Il faut savoir que j'avais un grand panel de candidats. Nous avons pu les choisir. Nous avons pu faire face aux éventuelles défections de dernière minute. Nous avons déposé la liste de nos 21 cantons le premier jour où c'était possible à la préfecture, je n'ai eu aucun mal à trouver des candidats. C'est vrai que le dernier article qui a été fait par France Bleu indique que j'ai des couples chez moi. Je ne savais pas que c'était interdit en politique d'avoir les deux qui s'engagent en politique. C'est une nouveauté. Vous savez, quand on s'engage en politique, très souvent, c'est très chronophage, et si la famille ne suit pas ou n'adhère pas au projet, c'est très compliqué. Ce qui explique pourquoi nous avons tant de couples représentés. Vous êtes donc tête de liste pour les élections régionales dans le Loiret. Un policier en tête de liste, ça annonce la couleur la sécurité, pincipal axe de campagne du Rassemblement National ? Tout à fait. La sécurité, c'est un problème essentiel en France aujourd'hui. La sécurité, c'est aussi l'affaire de tous et on ne voit pas pourquoi ça ne serait pas l'affaire des régions. Les Régions n'ont pas vraiment la main sur la sécurité. Ce n'est pas la Région qui décide du nombre de policiers municipaux ou de policiers nationaux dans nos rues. La sécurité n'est pas une compétence de la Région, mais la région peut co-produire de la sécurité comme cela s'est déjà vu notamment en région Île-de-France, par exemple. La Région, peut subventionner ou du moins cofinancer et aider les mairies à obtenir des budgets plus conséquents pour recruter des policiers municipaux. La région a certains leviers pour pouvoir amener plus de sécurité, notamment dans les transports. Elle peut être un acteur vraiment très important et nous avons plusieurs expérimentations en termes de sécurité que nous souhaiterions mettre en place dans la région Centre-Val de Loire. Vous êtes donc policier dans les Yvelines, élu au conseil municipal à Maintenon, en Eure et Loir, candidat aux départementales dans le Loiret, tête de liste aux régionales pour le Loiret. Ce département, c'est une étape parmi d'autres ? Non, le Loiret, c'est ma nouvelle destination. Initialement, j'aurais dû m'installer dans le Loiret cette année, à cause de la Covid, tout a pris un petit peu de retard. Je suis aussi contraint par la profession de mon épouse, donc, pour l'instant, je suis toujours physiquement sur Maintenon. J'ai assumé mon mandat de conseiller municipal qui est un mandat totalement bénévole, où je siège dans huit commissions qui ne me rapportent absolument rien, je fais ça vraiment parce que je me suis engagé auprès des gens qui m'ont élu. Quand je serai sur le Loiret et que je passerai la main à ma seconde de liste, elle continuera l'engagement du Rassemblement National sur place. Cemardi 18 mai était dédié à une journée de sécurité aux abords des écoles maternelles et primaires publiques ainsi qu’au collège François Mugnier. Association paritaire pour la santé et la sécuritédu travail, secteur "Administration provinciale" Recherche À propos Croyez-vous que la santé et la sécurité, c’est l’affaire des autres? Détrompez-vous! Pour bénéficier d’un milieu de travail sécuritaire, tous les travailleurs et les gestionnaires doivent connaître les différents enjeux en santé et sécurité du travail afin de collaborer ensemble pour trouver des solutions aux problèmes rencontrés. La prévention devient alors l’affaire de vous, de moi, de vos collègues, de vos gestionnaires, de votre ministère. Bref, elle devient l’affaire de tous! Objectif et déroulement Sensibiliser les participants sur les enjeux réels de la santé et de la sécurité du travail et les amener à adopter des comportements sécuritaires afin de bâtir une forte culture de prévention. Les conséquences potentielles d’un accident de travail ou d’une maladie professionnelle Les responsabilités des travailleurs et des gestionnaires L’adoption de comportements sécuritaires Cliquez ici pour faire une demande de service Vos conseillers Alexandre Côté Julie Forest Vous pourriez être intéressé par GuibZ. 323 242 260 137 382 219 312 367 186

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